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Rapport sur la 2e loi de Newton

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Par   •  14 Novembre 2018  •  Cours  •  773 Mots (4 Pages)  •  900 Vues

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2ème loi de Newton

Intro :

Au cours de ce travail pratique, nous avons pu nous familiariser avec les définitions de cinématiques et ainsi pu mettre en situation la deuxième loi de Newton. Nous allons prouver grâce à l’accélération que l’on peut de manière expérimental trouver une valeur très proche de la vérité (marge d’erreur). Puis nous allons la comparer à la valeur théorique. A l’aide du matériel mis à notre disposition, nous avons pu prendre des mesures afin de la vérifier. Pour se donner une idée de l’expérience, vous pouvez imaginer un camion qui remorque avec un câble un voiture. Ce tractage se fait à accélération constante et il faut l’imaginer sans les frottements que nous trouvons sur terre. Cette expérience va permettre grâce à des calculs de démontrer cette théorie.

Théorie :

La notion de force représente les interactions entre deux objets ou systèmes. MRU (Mouvement rectiligne uniforme), est un concept de cinématique qui montre l’évolution de la distance en fonction de la vitesse et du temps (………….)

Si la résultante des forces qui agit sur un objet quelconque n’est pas nul, alors la 1 er loi de Newton n’est pas vérifiée. Cette première loi nous disait que si la résultante des forces est nulle, alors l’objet et soi immobile, soi à vitesse constante (MRU). Cela nous amène a dire que l’objet en question est soumis à une accélération et qu’elle est proportionnelle à la résultante des forces et inversement proportionnelle à la masse de l’objet. Donc on en sort l’équation suivante: (…………………….). Pour finir, le concept d’accélération signifie une grandeur vectorielle en cinématique qui modifie la vitesse d’un objet ou système. Elle est notamment réutilisé dans les équations de MRUA.

Démarche expérimental :

Nous avons mis en place un système qui supprime au maximum les frottements à tel point qu’ils sont négligable. Le système est composé d’un électroaimant au départ afin de tenir le glisseur posé sur le rail à air. Le glisseur à une pièce en plastique en forme de créneau et de l’autre côté, une rondelle métallique pour équilibré les masses. Au bout du glisseur, une corde est accroché. Elle traverse tout le rail à air, passe par une poulie sans frottement et le bout et fixé à un crochets sur lequel l’on peut changer la masse. Lorsque l’on va éteindre l’électroaimant, le glisseur va accélère à cause de la masse suspendu au bout du fil. Puis le glisseur va passer devant le chronomètre sous forme de cellule photoélectrique qui se situe environ 30 cm après le départ. Une première mesure va être prise : le temps de passage du créneau devant la cellule et déclencher un deuxième chronomètre. Puis le glisseur passe devant la seconde cellule à 60 cm de la première qui arrête le deuxième chronomètre et refait un dernier chronométrage identique au premier. Puis nous répétons cette opération avec différentes masses sur le glisseur et/ou sur le crochet.

Résultats :

Nous pouvons observer que Ϫt diminue lorsque l’on augmente la masse m que l’on va appeler

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