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Gestion des connaissances et informatique

Dissertation : Gestion des connaissances et informatique. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  3 Mai 2016  •  Dissertation  •  2 319 Mots (10 Pages)  •  1 065 Vues

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Introduction

Aujourd’hui, les modèles de gestion connue sont tassés de côté pour introduire les nouveaux modèles japonais qui ont fait leurs preuves depuis les dernières années. Les entreprises occidentales doivent maintenant jongler avec la gestion de connaissance qui est une démarche à suivre pour mettre à profits le savoir dans l’organisation. Nous allons clarifier ce que c'est la société du savoir par une légère réflexion sur ce que la nouvelle entreprise qui doit s’organiser pour gérer ses connaissances. Deuxièmement, nous allons expliquer par une mise en relation des cycles de la connaissance du point de vue de Nonaka, un maitre japonais dans cette matière et le concept d’Alavi et Leidner. Pour terminer, il aura de brèves descriptions de mise en situation, à mon travail, sur la gestion de connaissance.

Réflexion sur la société du savoir

Les Japonais ont trouvé une solution pour rendre leur industrie plus performante. Ils ont constaté que la performance n’est pas assurée en forçant ses employés à être plus rentable ou à donner corps et âme à son organisation. Les dirigeants d’entreprises japonaises ont décidé de tasser notre système hiérarchique pour un système totalement plat . Chaque employé reçoit l’information qu’il a besoin pour accomplir ses tâches. En lâchant le jeu du pouvoir à ses ouvriers et de supprimer les échelons hiérarchiques, la production, se fait grâce à une structure aplanie, dans laquelle chacun travaille pour la réalisation et non seulement pour son supérieur

Le salarié

La nouvelle entreprise devra s’adapter avec des nouveaux postes de gestion et de travailleurs. Celle-ci se découpe en équipe qui a pour but de servir un objectif commun. Chaque ouvrier sait donc se qu’il a à faire. Leurs connaissances et leurs talents sont alors regroupés pour rendre une performance collective. La société du savoir, tout comme l’équipe de travail, demeure avec un objectif qui énonce les attentes qui devront être réalisé. Avec cette manière de faire, il aura alors un autocontrôle, plus de responsabilité pour tous les employés. De ce fait les employé se sentiront plus valorisé, se sentiront encore plus important pour l’entreprise et de plus, un employé engagé effectue moins de comportements dérangeant et du même coup, est moins sujet à l’épuisement et est en meilleure santé. C’est le bonheur au travail. Ils ont la chance d’apprendre de nouvelles choses et de développer de nouvelles habiletés avec la liberté nécessaire pour accomplir leur travail. Ils deviennent des spécialistes pour faire les choses qu’ils font le mieux et pour eux, c’est faire quelque chose qui leur permet de se sentir fier.

Les managers

En touchant la structure et abolissant la hiérarchie, certains postes devront être abolit. L’économie salariale va être des gains significatifs pour l’entreprise. Des niveaux de responsable qui servent seulement de relais devront disparaitre pour mettre à profit des leaders qui occuperont surtout une fonction d'assistance. Ils auront comme tâche de contrôler et transmettre en haut lieu des rapports détaillés de ce qui se passe dans l’entreprise. Ils laisseront aller les travailleurs à leur propre rythme et la productivité devrait monter dans le même sens .En établissant les responsables comme des chefs d’équipe travaillant sur le plancher, les hauts dirigeants ont l’information qu’ils ont besoin c’est bien plus efficace qu'une réunion de cadres. Les organisations efficaces ont besoins beaucoup plus de travailleurs spécialistes sur le plancher que des niveaux directionnelles dans des siège sociaux. C’est pourquoi la coupure de poste de management est imminente et les promotions seront en augmentations pour les postes d’ouvriers spécialistes et les postes de managers seront inhabituelles.

Le superviseur

Nous voyons l’importance de la qualité d’encadrement pour ce style de gestion qui reste un levier dans la gestion de connaissance. Il y a de nombreux gestes qu’un superviseur peut réaliser dans le quotidien afin d’encourager son équipe à se mobiliser. Un bon gestionnaire devra maintenant assurer un suivi entre les différents secteurs d’activité. Il devra divulguer les orientations de l’entreprise en ralliant les employés autour objectifs et élaborer des suivis sur une base régulière. Cependant, ce qui devra être le plus important, faire la promotion de partage des connaissances et des meilleures pratiques entre les employés ainsi que dresser des plans de développement individuels et maintenir cette connaissance par de la formation continue. L’information doit être accessible à tous peu importe le poste. Sans favoriser l’autonomie, la responsabilisation et la participation de l’équipe à la résolution de problème les cadres courront à leur perte. Maintenant la haute direction veut que ces gens impliquent les employés dans la planification de l’entreprise.

Autres postes dans l’organisation

La nouvelle structure n’est pas seulement constituée de travailleur, de chef d’équipe et de dirigeant d’entreprise, mais aussi, d’équipe juridique, des ressources humaines, relation publiques ou encore de marketing. Ces centres opérationnels sont toujours actifs cependant le travail sera fait différemment. Ils seront responsables des normes, de la formation ou d’affectation et beaucoup moins centralisé sur la gestion et de la prise de décision. La connaissance vient d’en bas et elle est poussé vers le haut. Maintenant, la haute direction devra laisser aller ses équipes de travail avec toute confiance. Comme nous constatons à la lecture de Peter Drucker, « si la mission des opérationnels est de savoir ce qui est, la mission de la direction est de savoir ce qui devrait être ». . Les directeurs d’entreprises doivent maintenant empêcher tout obstacle qui ralenti la progression et préparer ses équipes de travail à s’engager dans le dialogue

Cette façon de faire engendrera quand même des complications. Mais selon Peter Drucker, il y a 4 façon surmonter ses problèmes de managements : en mettant un système de récompense avec des chances d’améliorer sa carrière, avoir une vision commune de spécialiste, avoir une équipe de direction pour diriger les équipes adéquates et de garantir d’avoir une équipe dirigeante qui a été mise à l’épreuve.

Flux de connaissance

Le

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