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Analyse de situation malaise sur prise de sang

Étude de cas : Analyse de situation malaise sur prise de sang. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  22 Juin 2023  •  Étude de cas  •  1 433 Mots (6 Pages)  •  136 Vues

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Marine Boulo 28 Janvier 2023

Richard Renaudin

2E année : Groupe 5

Analyse de situation

Année 2021-202

Sommaire

Introduction Page 2

Description Pages 2-3

Enjeux Pages 3-4

Questionnement Page 4

Savoirs Page 4

Analyse Page 5

Conclusion Page 5

Références bibliographiques

Introduction :

J’ai effectué mon premier stage en psychiatrie au début de ma deuxième année d’infirmière (S3). Celui-ci s’est déroulé dans une unité transverse aux autres secteurs de psychiatrie de Saint Jacques. J’ai cependant réalisé une semaine à l’unité ouverte de psychiatrie 3, Claudel et une semaine à l’unité fermée de psychiatrie 1, Gwarez.

J’ai choisi cette situation car c’était la première fois que je réalisais une prise de sang seule à ce stage sans la surveillance d’une IDE. Cela ne m’était jamais arrivé de me retrouver dans cette position à devoir stopper un soin et je ne savais pas s’il était préférable de finir le soin pour lui éviter une autre prise de sang et ainsi un autre malaise ou alors s’il fallait que j’arrête mon soin pour ensuite recommencer plus tard et ainsi être plus à l’aise et plus disposé à pouvoir aider la patiente qui faisait un malaise.

Description :

J’étais ce jour-ci à mon deuxième jour dans l’unité et j’étais du matin. Je suivais l’infirmière en charge de réaliser les soins car dans ce service, les 3 infirmiers du matin se divisent les tâches du matin, un réalise les soins, un les traitements et le dernier se charge de la planification et de réceptionner les appels.

Ce matin-là, il y a 3 prises de sang à faire et l’infirmière avec qui je me trouve me propose de réaliser la prise de sang de l’entrée de la veille seule puisque lors de mon premier jour, mes deux prises de sang se sont très bien déroulées. Je prends alors mon matériel et me rend dans la chambre de la patiente. Je frappe à la porte et rentre, il est alors 7h30 et je réveille la patiente en rentrant dans sa chambre. Je me présente, lui explique que je dois réaliser une pris e de sang suite à son entrée dans le service de la vielle, et lui propose de repasser dans 5min si elle veut prendre le temps de se réveiller. Elle me dit alors que je peux la réaliser dès maintenant. Je m’approche alors du lit, je le monte pour le mettre à mon niveau et lui explique en même temps pourquoi je réalise ce soin. Elle me confit alors qu’elle a peur des aiguilles et qu’elle préfère ne pas savoir quand je rentrerais l’aiguille dans la veine. J’essaye de la rassurer du mieux que je peux, lui explique tous les gestes que je fais, lorsque je mets le garrot pour observer les veines, quand je l’enlève pour préparer mon matériel et quand je le remets et que je désinfecte. Je lui dis alors que je ne vais pas avoir trop de difficulté à faire la prise de sang car ses veines sont bien visibles. Elle est très stressée, regarde vers la fenêtre pendant qu’elle me parle. En même temps que j’insère l’aiguille dans son bras, je lui demande si elle va bien, comment elle a dormi en essayant de luis faire penser à autre chose. Je rempli alors mon premier flacon et elle me dit alors qu’elle ne se sent pas bien, elle se retourne vers moi et elle s’évanoui. Elle se trouve alors assise sur son lit, en train de glisser sur moi, pendant que je tiens encore l’aiguille dans son bras. Je n’ai pas le réflexe de retirer l’aiguille. Je l’a maintien donc dans son bras pendant que j’allonge la patiente pour lui relever les jambes. Elle reprend petit à petit ses esprits, je pose alors ses jambes en hauteur sur le bord du lit, lui explique qu’il me reste un tube à remplir, et lui demande si elle se sent que je termine la prise de sang ou alors que je repasse le lendemain pour finir le prélèvement. Elle acquiesce pour que je finisse. Je rempli alors le dernier tube, je retire le garrot, prend une compresse sèche, retire l’aiguille et lui fait un pansement.

Je lui redemande alors comment elle se sent, je l’aide à se redresser doucement dans son lit, elle me dit alors qu’elle a des vertiges, des sueurs et envie de vomir. Je lui mets un oreiller dans le dos pour qu’elle soit stable, et le passe un verre dos. Voyant qu’elle ne reprend pas ses couleurs, j’ouvre un peu la fenêtre et je l’informe que je pars lui chercher un haricot et un verre d’eau sucré, je préviens au passage l’IDE avec qui j’étais.

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