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Les théories de l'influence

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Par   •  21 Novembre 2020  •  Cours  •  879 Mots (4 Pages)  •  381 Vues

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Les théories de l’influence

Début 20e =) début cinéma, télévision  inquiétude. + contexte instable et problématique (1GM, 2GM), on se demande qui nous parle ?  Vent de panique envers les médias

Nouveau médias, nouveaux périls, nouvels technologie  cette liaison apparait en même temps, on tente donc d’accuser ces médias pour justifier le contexte compliqué

I) L’école de Francfort : Theodor W. Adorno

Ivan Pavlov, le réflexe conditionné : on peut conditionner les individus à avoir des réactions directs et calculables face à certaines stimulations (recherche remise en cause, discutable)

 Pleins de réflexions justifiant que les médias pouvaient influencé avec un stimulus  Certaines études ultérieures montrent que ce conditionnement n’est pas massif et il y a toujours des résistances

 Dans ces théories les individus sont fébriles et manipulable

Années 1940, groupe de recherche dans des universités américaines menant des recherches plutôt sociologiques. Des recherches qui s’étalent dans le temps  Groupe avec notamment Paul Félix Lazarsfeld et Alihu Katz

l’élection de Kennedy  analyser l’impact de la parole politique dans les campagnes, l’impact du vote.

Conclusion de l’enquête : pas d’influence direct mais des filtres (leaders d’opinion) = théorie des effets limités (relativise cette influence)

Rôle leader d’opinion (à l’époque père de famille)

 les années 60 on retournera à des théories qui soutiendront l’influence des médias

La persuasion clandestine (Packard, 1958)  Retour de la théorie de l’influence directe

L’homme est assez complexe pour ne pas être influencé, l’hégémonie n’est jamais totale  champs de résistance pouvant renverser les hégémonies

Dans les années 1970/80 nait un courant théoriques qui s’appuie sur la psycho-sociologie : les cultural studies =) Prise en compte des contextes de réception – perspectives psyhologiques

Stuart Hall : différentes lectures (ccl d’une enquête) (Hégémoniques conformes au sens dominant,Négociées (partie du public receptive au discours dominant mais sans y adhérer), Oppositionnelles)

 Cette enquête montre que l’influence est compliquée et les types de lectures peuvent varier selon les domaines/ les sujets, selon les opinions. Nous ne sommes pas des êtres totalement conditionnable. Nous sommes sujet à mutation, changement.

William McGuire : il dit que quand on est dans un processus de soumission à un discours, quand on est exposé à un discours médiatique fort on passe par 4 étapes :

- Compréhension

- Acceptation

- Rétention (différent degré de rétention, on peut retenir qu’une partie)

- Comportement (est-ce que je vais impacter mon comportement avec ce message)

 A toutes ces étapes on perd du monde ! Au final on se rend compte que l’influence cherché à produire ( ce qui retienne, qui accepte pas, qui change de comportement, ou non), n’est pas direct

1980- Aujourd’hui

Théorie des processus  Nous sommes des récepteurs complexes, associant plusieurs approches théoriques. La variété de nos comportement sont contextuelles, conjoncturelles. On doit prendre en compte des facteurs psychologiques, sociologique, pragmatique.

Approche psycho-socio-pragmatique des communications : prise en compte de nombreux facteurs agissant, avant, pendant

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