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Lecture Analytique Paysage, De Charles Baudelaire

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Par   •  14 Décembre 2014  •  895 Mots (4 Pages)  •  4 028 Vues

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Lecture analytique Paysage, Charles Baudelaire

INTRODUCTION

Le poème que je vais étudier fait partie de la section Tableaux Parisiens du recueil Les Fleurs du mal publié en 1857 par Charles Baudelaire. Charles Baudelaire est né à paris en 1821. Il perd son père à l’âge de 6 ans et voit sa mère se remarier avec le commandant Aupick que Baudelaire détestera. Pendant ses études, il mène une vie de bohème. En 1857, il publie les Fleurs du Mal mais il est attaqué en justice pour immoralité. Suite à cela, plusieurs poèmes sont retirés du recueil. Baudelaire est alors affecté par cet échec. Le poids des dettes, la misère, les souffrances morales provoquent le malaise de Baudelaire en 1867.

Dans ce poème, Baudelaire présente la ville de paris et la transforme en une sorte d’utopie grâce à la poésie.

Lecture du poème

Annonce de la problématique

A propos de ce poème, je vais répondre à la question suivante : En quoi la poésie permet-elle la transformation de la réalité en un rêve ?

Annonce des axes

Dans un premier temps, je vais montrer que Baudelaire décrit le paysage réel de la ville de Paris. Nous verrons ensuite que le réel est transformé en rêve. Et pour finir, je vais expliquer la démarche du poète.

DEVELOPPEMENT

I- Paysage de Paris réel

- « du haut de ma mansarde, je verrai » (l.5-6) ; « lampe à la fenêtre » (v.10)

Ø Le poète est en hauteur, à sa fenêtre, et il voit le paysage de Paris du 19ème siècle

Ø Allitération en [d] = rôle ???

- « Astrologue » (v.2) ; « ciel » (v.2)

Ø Omniprésence du ciel ce qui prouve qui le poète est très haut

- « qui chantent et qui bavardent » (v.6)

Ø Proposition subordonnée relative et personnification qui renvoie au bruit, à l’activité des usines de l’entreprise.

- « Les clochers » (v.3)

Ø Aspect traditionnel de la ville de Paris

- « l’atelier » (v.6) ; « les fleuves de charbon » (v.11)

Ø Représente la vie industrielle de Paris.

- « tuyaux » (v.7)

Ø Détails prosaïque

II- Paysage transformé et idéalisé

- « rêver d’éternité » (v.8)

Ø Paris idéalisé

- « l’atelier qui chantent et qui bavardent » (v.6)

Ø Transfiguration du réel : les bruits de l’usine se transforment en chants. Le poète imagine les travailleurs heureux et communicatifs

- « Ecouter en rêvant leurs hymnes solennels empotés par le vent »

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