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L’abus dans le roman Lovelie D’Haïti

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Par   •  26 Mars 2013  •  1 371 Mots (6 Pages)  •  911 Vues

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L’abus dans le roman Lovelie D’Haïti

Le philosophe Albert Jacquard dit : « Nous ne voyons pas le monde avec nos yeux, nous le voyons avec nos concepts. » (http://www.dicocitation.com/auteur/2271/Jacquard_Albert.php) Donc, avant même d’ouvrir les yeux, avant même de les connaître, nous avons déjà jugé l’environnement, l’apparence ou même les personnes. L’auteur Sylvain Meunier du roman Lovelie D’Haïti démontre qu’il y a beaucoup de souffrance dans le monde par l’entremise de son personnage principal, Lovelie. Est-ce que l’abus est un thème central qui affecte Lovelie D’Haïti? Malgré les petits moments de bonheur dans le roman, l’auteur utilise l’abus comme un thème central qui entoure Lovelie. Lovelie fait face à l’abus physique, l’abus psychologique et la négligence.

Ce qui est perçu comme de l’abus physique par certains est considéré comme normal et acceptable par d’autres. L’abus physique c’est frappé ou de battre un enfant. La discipline physique n’est pas une façon efficace d’agir sur le comportement d’un enfant. Ce mode de discipline peut laisser des cicatrices et influencer la vie des jeunes pour le reste de leur vie. Dans le roman Lovelie D’Haïti, Lovelie ce fait abuser physiquement par plusieurs personnes. Premièrement, le père de Lovelie, Jérémie D’Haïti, abuse Lovelie quand elle fait quelque chose qu’il n’aime pas. Meunier nous explique : « [...] il fouetta Lovelie avec son ceinturon de cuir jusqu’à ce que la voyant toute petite par terre, […] » (Meunier 42). Le personnage principal se fait fouetter par son père à l’âge de six ans puisqu’elle était intéressée au vaudou. En effet, Jérémie D’Haïti ne croit pas au vaudou et aimerait que sa fille s’éloigne donc, l’abusa. Après cet événement, Lovelie ne peut pas voir son père de la même façon. Deuxièmement, Charline et Charlot, les membres de famille où elle vit l’abuse physiquement quand elle ne fait pas qu’est-ce qu’ils veulent. Charline explique à son frère : « Eh! Charlot! Si tu lâchais ton estie de Nintendo pour une fois […] On va fouetter notre esclave. » (121) Charline et Charlot avait amusés en fouettant Lovelie puisqu’elle avait mal fait les devoirs de Charline. Ils profitent de Lovelie mais, elle n’est jamais traitée comme une vraie personne. Après que Charline et Charlot l’abuse, Lovelie a plusieurs cicatrices mais, elle ne peut pas vivre sa vie de tous les jours, car elle avait pensé qu’elle faisait quelque chose de bon pour Charline. Donc n’ont seulement, elle était affectée physiquement mais, elle avait aussi été affectée mentalement. Finalement, Fleurette l’abusa plusieurs fois avec une cuillère de bois mais, Lovelie avait appris quoi dire et quoi faire au bon moment. Cependant, Lovelie se questionnait sur le fait que le petit frère ne marchait pas et elle se fait battre. Meunier nous explique : « […] avec la manche brisée frappa à nouveau Lovelie […] » (102). Elle se fait battre avec un balai en bois. Elle avait tombée sans connaissance et elle saignait partout. Quand Lovelie se lève, elle ne dit pas un mot et va pleurer à sa poupée. Lovelie a survécu une tragédie, elle a peur et suit les règles de la maison. Lovelie se fait abuser tout au long du roman. Cependant, Lovelie n’est pas seulement affectée par l’abus physique mais, aussi l’abus psychologique.

Plusieurs personnes ne rendent pas contre qu’ils affectent quelqu’un mentalement mais, vraiment c’est l’abus. L’abus psychologique est une forme d’abus qui sont faits normalement verbale. Dans ce roman, le personnage principal, Lovelie D’Haïti est affectée par l’abus psychologique par la famille d’où elle reste. Premièrement, Lovelie a seulement le droit de dire certain mot au bon moment. L’auteur nous explique : « Il est interdit à Lovelie de recourir à la parole sinon pour dire "oui, non, p’pa, m’man" » (62). Cela affecte beaucoup la mentalité de Lovelie, car elle n’a pas le droit de sa parole. Elle est donc, isolée socialement et ne peut pas demander des questions ou dire son opinion. Deuxièmement, Charline parla à Lovelie sans respect. Charline dit : « Les esclaves mangent après les maîtres. » (78). En disant cela, Lovelie ne comprend pas pourquoi elle est appelée une esclave. L’estime de soi de Lovelie est diminué et puisqu’elle granit encore ses comportements vont changer au courant de sa vieillesse. Finalement, Lovelie n’a aucune

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