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Commentaire sur le poème La Ballade Des Pendus de François Villon

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Par   •  16 Mai 2015  •  1 289 Mots (6 Pages)  •  1 098 Vues

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Texte1 : Ballade des pendus

François Villon il est née en 1431 mort après 1463.

Issus d'une famille pauvre, il est orphelin de paire très jeune.

1449 il est bachelier.

1452 il obtient sa maîtrise à paris

Après ses études, plus de trace de lui sauf judiciaire, il est l'image légendaire du poète malfaiteur.

1455, il tue un prêtre

Lors d'une rixe, en 1456 il commait un val au collège de Navard

1461 il est incarcéré mais on ne sais pas pourquoi mais il écrira après sa libération un texte : Le testament

1462 il blesse un notaire pontifical et il est condamné a la pendaison, pour sa qu'il écrit ce poème qu'il nome Une épitaphe et au dernier moment sa peine se commuée en 10 de bannissements.

La ballade : C'est une forme fixe. Il y a 3 dizains et une dernière strophe de 5 vers qu'on appelle un envoi parce qu'il est adressé à un interlocuteur choisi. En général c'est écrit en décasyllabe (10 syllabes). Il y a comme un refrain vers 10-20-30. Se qui est répéter aussi c'est aussi qu'on appelle la prosodie qui est l'étude des vers.

I- Un discourt qui s'adresse aux Hommes

« Frère humains » (v.1) → appel aux H comme si nous étions à sa place → apostrophe aux sentiments de solidarité, de fratrie.

A- Refus de la moquerie, du jugement des autres Hommes et appel à la clémence

Champ lexical de la moquerie : « ne s'en rie » (v.9)

« âme ne nous harie » (v.19)

« endurcis » (v.2)

« avoir dédain » (v.11.12)

→ il ne veut pas de jugement ni de peine trop dure. Il refuse la condamnation de ses prochains.

Le CL est associé a 1 prière qui deviens peu à peu 1 menace : « négation » (v.2) et « contre nous » (v.2) subjonctif prescriptif → prière, vœu « pas n'en devez avoir dédain » (v.11-12) « âme ne nous harie » (v19)

« Hommes, ici n'a point de moquerie » (v.34)

Cette prière a la force d'1 injonction, d'1 supplication, d'1 imprécation et même d'une révolte contre l'injustice des H contre leurs railleries, contre leurs sévérité et contre leurs mépris.

Mais cette demande prend le ton d'1 menace solennelle : « âme » (v.19) « ne .. point » (v.34)

→ aspect universel de cette menace = il s'adresse à tous les H

→ appel à la pitié, à leur sentiments de solidarité : il est innocent :

« frères humains » (v.1)

« pitié » (v.3-4) → religieux

« frères » (v.11)

Mais en les appelant frères, ils les place au même rang qui lui, et donc dans incapacité de le juger.

B- Discours argumentatif empreint de violence ironique

→ les subjonctif prescriptif : (v.9.v.19), les connecteurs logiques « mais » (v.10-20-30-35), « si » (v.11), l'impératif « pas n'en devez » (v.11-12)

« excusez-nous » (v.15) → déférence (respect) envers leurs semblables mais elle est ironique par « puisque sommes transis » → fausses excuses

→ « Ne soyez donc de notre confrérie » (v.29) → ironie, humour noir, → il ne demande pas aux H de se mettre à sa place, il demande seulement de la clémence.

« Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre » (v.10-20-30-35) refrain en fin de chaque strophe

« tous » = pronom que désigne le genre humain »

à imprécation, pronom de totalité humanité toute entière

Absoudre = innocenter « mais » a valeur de menace, il annonce 1 conseil = mais plutôt mais vous feriez bien.

→ quoique fûmes occis/par justice » (v.12-13)

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