Les aspects positifs et négatifs des régimes alimentaires

- Les aspects positifs et négatifs des régimes alimentaires :

Ces dernières années, nous pouvons constater une importante prolifération de régime alimentaire en toute sorte, mais se sont ceux fondés sur l’exclusion de certains aliments qui sont tendances, notamment le régime sans gluten ou encore le véganisme. Tous ces régimes prônent le bien-être qui ne cesse de séduire les gens de générations et de catégorie sociaux-professionnelles très disparate. Cependant, il est tout à fait légitime de se demander si ces régimes prônés par les scientifiques, les médias, certaines célébrité et les entreprises sont réellement bénéfiques ou existe-t-il une vérité tout autre qui peut être au contraire néfaste pour l’homme ?

Nous exposerons dans un premier temps la partie émergée de l’iceberg, les aspects positifs et connus puis dans un second temps la partie immergée de l’iceberg, les aspects négatifs ainsi que les motivations réelles qui si dissimulent.

Exclure des aliments peut en premier lieu avoir un intérêt médical. Puisqu’il peut permettre aux personnes souffrant de pathologie chronique liée à l’alimentation de contrôler leur maladie. En effet, en éliminant les aliments déclencheurs, ils éliminent les désagréments et les risques de leur quotidien et peuvent ainsi mener une vie en partie normale. De ce point de vue, les régimes « sans » représentent un remède à leurs maux. On peut prendre pour exemple les personnes souffrant d’allergies, qui peuvent résulter d’aliments très diverses comme les noix, certains fruits comme le kiwi ou encore des additifs, ces aliments peuvent provoquer une éruption cutanée voire des crises d’asthme pouvant entrainer la mort.

Le mode de vie « sans » permet également à chacun d'adopter un comportement préventif et apparaît comme une solution à notre mode de vie actuel qui est caractérisé par la malbouffe. Puisque, ces régimes « sans » prône une alimentation saine, grâce à laquelle on peut apprendre à surveiller notre alimentation et à exclure les aliments qui sont néfastes pour notre santé. De ce fait, nous pouvons réduire notre consommation d’aliments dangereux pour la santé et par conséquent l’exposition aux maladies ou à l’obésité. Par exemple, la France connaît un accroissement constant du nombre de personnes en surpoids notamment chez les adolescents, l’État a décidé de mettre en place des repas sains dans les cantines, excluant tous les produits appartenant à la restauration rapide afin d’apprendre aux jeunes à s’alimenter sainement. De plus des études ont démontré que les produits ayant subi de multiples transformations sont de mauvaise qualité et remplis d’additifs, sur le long terme ces produits ont un impact négatif sur la santé des consommateurs, comme le cancer.

Un régime « sans » peut également permettre à une personne de participer indirectement ou directement à un mouvement social et donc au soutien d’une cause, notamment les végans qui en s’abstenant de consommer ou d’utiliser des produits d’origines animale cherchent à protéger l'environnement mais également à lutter contre l’exploitation animale. Tandis que notre consommation individuelle de viande est excessive et est régulièrement pointée du doigt par les experts, quant à l’échelle mondiale le niveau est faramineux et inquiétant. Alors que l’élevage et l’industrie liés à l’exploitation animale sont très énergivores en ressources, et abîment également les sols, les forêts, les océans, les rivières et l'atmosphère terrestre. À titre d’exemple, on peut se référer au rapport de l’ONU selon lequel, l’élevage animal représenterait 70% de la consommation mondiale d’eau douce, 38% de l’utilisation totale des terres et 19% des émissions de gaz à effet de serre mondiales. Mais encore à l’association pro-véganisme L214 qui mènent régulièrement des enquêtes, dans le but d’informer les consommateurs sur la maltraitante animale liée à la consommation de viande.

Si à première vue les régimes fondés sur l’exclusion apparaissent comme bienfaisants en raison de leur aspect sain, de leur intérêt médical et sociétal, il existe une autre réalité qui ternie l’image

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