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ILQ,travail 3

Étude de cas : ILQ,travail 3. Recherche parmi 299 000+ dissertations

Par   •  23 Août 2015  •  Étude de cas  •  1 140 Mots (5 Pages)  •  631 Vues

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INTRODUCTION

Le système de politique étrangère et de défense du Canada a beaucoup évolué au cours des dernières années que ce soit la protection de notre pays ou des relations avec l 'Internationale, elle a su s'adapter aux nombreux événements qui ont marqué le pays et le monde. Pendant de nombreuses années, durant la guerre froide entre les pays communistes de l’Est et les pays démocratiques de l’Occident, la principale menace provenait de l’ancienne URSS. Plus récemment, l'attaque du 11 septembre 2001, a fait changer la façon de voir la protection du pays et de ses politiques ses malgré que le Canada n'est pas menacé directement comme lors de la guerre froide. Dans cet essai, je vais tenter de vous expliquer l'évolution de la politique de défense du Canada, de la guerre froide (1945-1989) à la guerre en Afghanistan (2002-2011).

DESCRIPTION

Le Canada, par sa position stratégique entre les Etats-Unis et l'URSS a dû se rallier à son voisin du sud durant la période de la guerre froide afin d’assurer sa protection. Cette alliance aura réduit son champs d'action au niveau militaire et une limite au plein d’exercice de sa souveraineté, plus particulièrement après la création du NORAD1.L’arctique deviendra un endroit stratégique en matière de sécurité et de la défense du pays.

La fin de la guerre froide et des menaces soviétiques a eu pour effet de diminuer le rôle de l’Arctique dans la défense et la sécurité du continent et du Canada. Le fait que l’Arctique se modifie dû aux changements climatiques créés de nouvelles menaces allant de l’atteinte à la souveraineté canadienne dans l’Arctique jusqu’à l’augmentation d’activités et d’accès illégaux2.Il est mieux de dire que les menaces envers le Canada n’ont pas disparu mais plutôt qu’elles se sont que transformées.

ANALYSE

Les priorités canadiennes en matière de défense ont respectivement placé en tête de liste l'OTAN3, le NORAD et la contribution canadienne aux Forces de maintien de la paix et de l'ONU4 en 1954, en 1959 et 1964. Pendant ce temps, le Canada s’est rapproché avec son partenaire économique, les Etats-Unis afin de contrer les menaces planant sur lui pendant la guerre froide. Les bombardiers soviétiques à long rayon d’action et, plus tard, les missiles balistiques intercontinentaux constituaient un danger réel pour le continent nord-américain, ce qui a amené les gouvernements canadien et américain à avoir plus d’interactions en matière de défense, avec les lignes de radar continentales et l’industrie avionique canadienne et son projet de développement de l’avion Arrow5. Durant la guerre froide, les FC sont passé de 120 000 à 100 000 personnes sous le gouvernement de Pearson6 et 78 000 personnes sous Trudeau7. Le Canada a subi des pressions de ses alliés de l’OTAN et du sud qui force l’achat de CF-18 et d’avion de patrouille, dans les années 70. Le livre blanc de 1987 annonce restaurer la fierté nationale en s'engageant à moderniser et à accroître l'effectif des Forces armées, avec le remplacement d’armes et d’équipement sous le gouvernement de Mulroney8

L’après-guerre froide a changé le caractère multidimensionnel de la sécurité, ce qui fait dorénavant en sorte que la sécurité des Canadiens est directement liée à la sécurité de l'environnement international, ce qui amène le Canada a participé à des théâtres tel que la Somalie, Chypre et la Bosnie-Herzégovine. Le livre blanc9 de 1987 explique la politique de défense du Canada en matière de sécurité se divisait en trois piliers : la sécurité collective et la défense; b) le contrôle des armements et le désarmement et c) le règlement pacifique des différends internationaux. Le livre blanc a subi des modifications en 1994, qui spécifiait clairement que toute « menace militaire directe »à l’endroit du continent nord-américain était, pour le moment, complètement disparue, et que le rôle des Forces armées canadiennes devait être transformé10 pour en tenir compte. Ceci dit, il n’a jamais été question d’abandonner

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