Français, DS n°1

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GALLIOT Nathalie

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EXERCICE 1 :

1. Dans le premier paragraphe, le narrateur présente la maison comme étant sans valeur car il dit « pour ce qu’elle vaut cette maison », puis mal foutue en disant « une maison qui tenait par les papiers peints, tellement elle était mal foutue », et de minable par la phrase « pas de chauffage. Un étage. Une maison minable ».

1. « D’autres gens y habitent, dans notre maison »

1. Le narrateur trouve « insupportable » que « d’autres gens » habitent désormais son ancienne maison car ils y ont vécu trop de choses, trop fortes, trop intenses.
2. Le narrateur les nomme « les intrus », « les usurpateurs » dans la suite du texte.

1. Le narrateur éprouve un sentiment de regret que l’on trouve dans le passage « cette maison                    n’est pas à vous. C’est la nôtre. On y a vécu trop de choses, trop fortes, trop intenses », et de nostalgie que l’on retrouve dans la phrase « Mais il m’arrive de retourner en Bretagne, de passer par Trans, de m’y arrêter. De repasser devant la maison, en tremblant  […] mais c’est comme si je me brûlais, en approchant de la fenêtre. Je ne peux pas regarder, c’est tout simplement impossible ».

EXERCICE 2 :

     1.    Ce texte correspond au dialogue de deux personnages

     a.    Les deux personnages de ce dialogue sont la visiteuse et le conseiller.

     b.    L’objet de leur conversation est un ballon de foot.

     2.    Les indications scéniques sont [elle ouvre son sac et tend une coupure de journal au    

             conseiller}, [il lit]

     3.     On peut remplacer les 2 adjectifs par l’adjectif agile : « leurs mains sont plus agiles ».

1. Les deux raisons qui expliquent que ce sont surtout les enfants qui fabriquent les ballons sont   le coût car ils sont cousus à la main plutôt qu’à la machine et cela fait par des enfants plutôt que par des adultes. De plus, l’apprentissage est plus rapide chez les enfants car ils ont des mains plus petites et agiles.

    5.     Dans ce texte ; la visiteuse s’oppose au conseiller :

1. Le lecteur se rend compte que le conseiller ne s’y connait pas à la fabrication des ballons quand il dit « je n’ai jamais regardé un ballon de près » et par les questions qu’il pose ensuite comme « On les coud à la main ? »
2. La visiteuse prononce la phrase « oui, cela me révolte » car pour elle il est anormal de faire travailler des enfants. Ils  sont exploités car ils travaillent sept à huit heures par jour.

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