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Culture générale et expression, les droit de l'enfant, les maisons de redressement

Dissertation : Culture générale et expression, les droit de l'enfant, les maisons de redressement. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  10 Juin 2017  •  Dissertation  •  1 008 Mots (5 Pages)  •  765 Vues

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Culture générale et expression

Devoir n°1

Thème : « Les droits de l’enfant », les maisons de redressement

  1. Étude des paratextes :
  1. Nous pouvons relever plusieurs éléments du paratexte dans le document 1.

Ceux qui sont destinés à aider à la compréhension du texte et à nous faire découvrir l’auteur :

  • On distingue une présentation du texte de Prévert, on peut apprendre qu’en 1934 a lieu une évasion des jeunes pensionnaires de la maison de redressement de Belle-Île-en-Mer et qu’un enfant ne sera jamais retrouvé.

  • On trouve une courte biographie de Jacques Prévert, on peut trouver sa date de naissance et de mort, on apprend que c’était l’un des poètes les plus célèbre de son époque et qu’il a passé sa vie à défendre les plus vulnérables.

Ceux qui ont trait au contenu :

  • On trouve en bas à droite le nom de l’auteur « Jacques Prévert » ; le titre du recueil ou le texte a était repris « Paroles » et sa date de parution « 1934 ».

  • Il y a le titre du texte « chasse à l’enfant ».
  • En dessous du titre on trouve le nom d’une dame « Marianne Oswald » à qui le texte est dédié.
  • On aperçoit en note de bas de page qui était Marianne Oswald, pour Prévert « amie de Prévert ».
  1. Nous pouvons relever plusieurs éléments du paratexte dans le document 2 :
  • On peut apercevoir un premier résumé au-dessus du texte qui explique, quels sont le projet pour 2002 au sujet de la création de centres fermés pour adolescents.
  • Ensuite on trouve le titre du texte « Jeunes délinquants entre éducation et punition, le fantôme des maisons de redressement ».
  • A la fin du texte on peut distinguer une note qui nous expliquent la profession de Jacques Bourquin.
  • Enfin on trouve en bas à droite le nom de l’auteur « Jacques Bourquin » ; le nom du journal qui a publié le texte « le monde diplomatique » et la date de publication de celui-ci « juin 2002 ».
  1. Indentification des genres, des types et extraction du propos directeur :
  1. Le document 1, le poème de Prévert, appartient au genre poétique car il est composé de vers et de rimes, c’est un genre littéraire, il est de type narratif car il raconte comment se déroule la chasse à l’enfant.

Le propos directeur de ce texte est la condition de vie des jeunes pensionnaires de la maison de redressement de Belle-Île-en-Mer et la façon dont ils ont étés chassés et traqués en 1934.

  1. Le document 2, le texte de Jacques Bourquin, appartient au genre non littéraire, c’est un article de presse de type descriptif et informatif car il décrit l’évolution des systèmes de redressement et il informe le lecteur sur les anciennes pratiques qui étaient inutiles.

Le propos directeur de cet article est l’évolution de 1860 à 1938 des systèmes de pénalisation pour les jeunes délinquants, l’auteur montre l’inefficacité de ces systèmes de redressements qui ont étaient très long à fermer.

  1. Le document 3, le résumé du film « les Vauriens », appartient au genre non littéraire, c’est un article de presse de type informatif et narratif car il raconte et informe le lecteur du passage du téléfilm à une date, une heure et sur une chaîne précise, il résume également le film.

Le propos directeur de cette article est l’histoire de l’enfance terrible qu’a connu le père d’une jeune femme, au sein d’une colonie pénitentiaire pour enfant, créée au XXe siècle sur Belle-Île.

  1. Sélection d’idées dans un document :  

Les différentes étapes historiques du rapport éducation-répression, dans le document 2, l’article de Jacques Bourquin, sont :

  • En 1860, l’Etat augmente la création de prison pour enfants, ou ils seront enfermés pendant plusieurs années, sans éducation et où ils devront travailler en guise de punition.

  • Puis en 1890, on trouve que les punitions ne sont pas assez efficaces, on décide alors de les renforcer.
  • A la fin du XIXe et début du XXe siècle, la IIIe république commence à accorder un peu plus d’importance à la protection et à l’éducation des enfants.
  • La loi de 1912 créée le premier tribunal pour enfants, mais elle n’aura aucun impact sur les colonies pénitentiaires.
  • Ensuite, en 1935 le législateur enlève la peine pour les délinquants mineurs et les remplaces par des mesures d’assistance éducative.
  • En 1937-1938, la collaboration de la direction de l’enseignement professionnel entraîneront les premières réformes.
  • Enfin, c’est une bonne vingtaine d’années plus tard que les colonies pénitentiaires pour enfants disparaîtront.
  1. Comparaison de documents :

Ces trois documents ont pour thème en commun les droits de l’enfant dans les maisons de redressement.

Ils parlent des jeunes délinquants au sein des colonies pénitentiaires et des sanctions qui leurs sont infligées.

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