LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Apprendre à apprendre

Cours : Apprendre à apprendre. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  13 Février 2013  •  Cours  •  477 Mots (2 Pages)  •  690 Vues

Page 1 sur 2

APPRENDRE À APPRENDRE

À la rentrée comme un nouvel an, c’est le moment de prendre des bonnes résolutions ! Pour « apprendre à apprendre » et vous améliorer en vue du bac (voire au-delà), voici quelques méthodes de base à adopter dès maintenant.

Le facteur clé : être motivé

Vous êtes nul en math, incorrigible en orthographe, et votre allemand est désespérant ? Pour réussir, il va falloir trouver en vous la force de vous mettre au travail.

Commencez par arrêter de répéter que vous n’êtes pas doué. Certes, la part de talent naturel a une incidence sur le succès, mais elle n’est pas si importante. La clé de notre succès dépend en fait largement de notre motivation, qui va agir comme un turbo sur un moteur. C’est elle qui va doper nos capacités intellectuelles, de travail, et donc notre talent !

Même l’amour est un moteur dans ses études.

Pour Michel COEFFE, auteur de nombreux ouvrages sur les méthodes de travail, « aucune motivation ne remplace le désir d’auto épanouissement, c’est-à-dire la prise de conscience que l’école, puis les établissements supérieurs, sont des outils qui vont nous aider à nous réaliser ». Mais ce n’est pas le seul moyen de nourrir votre motivation. « Il y en a d’autres, parfois moins riches, mais qui ont le mérite d’exister, comme la passion, le besoin de dépasser l’autre, de plaire », explique-t-il. On peut se mettre à travailler pour exaucer le désir de ses parents, de son prof, séduire sa copine ou pour satisfaire un besoin d’estime, de considération. Pour Arletter LOFFICIER, auteur de Treize Atouts pour réussir vos études (éditions l’Harmattan), « l’espoir, la foi, la passion, donnent des résultats extraordinaires ».

Comprendre ses mauvaises notes

« Pour d’autres encore, briller dans les études autorise des pulsions d’agressivité. Devoirs, examens, deviennent des compétions. Le but : rivaliser, se placer en leader.

«Nous ne sommes pas loin non plus de la notion de jeu et du plaisir qu’on a à gagner », explique Michel COEFFE, qui ajoute : «Mais être motivé, c’est aussi de ne pas être désespéré par une mauvaise note. Tirez-en des leçons et considérez cette mauvaise expérience comme un défi à relever. Notre cerveau, par sa plasticité, est construit pour s’adapter aux situations nouvelles. Il possède des ressources insoupçonnnées qui nous surprennent toujours : ayez confiance en lui, c’est-à-dire en vous. »

Enfin, il arrive aussi que l’on étudie les matières que l’on n’aime pas particulièrement, parce que c’est la seule manière d’obtenir un diplôme ou un emploi convoité. Dans ce cas, il s’agit plus d’un pari sur l’avenir. La peur, mois avouable encore, peut être un puissant moteur, que se soit celle des sanctions, celle d’échouer, ou encore celle de la mauvaise note. Tout ce panel de sentiments finalement assez primaires peut être d’une grande force.

Il n’y a pas de honte à les utiliser pour tirer le meilleur de soi-même.

...

Télécharger au format  txt (3 Kb)   pdf (131.7 Kb)   docx (9.1 Kb)  
Voir 1 page de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com