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En quoi la littérature d'idée a-t-elle contribué à dénoncer la peine de mort ?

Fiche : En quoi la littérature d'idée a-t-elle contribué à dénoncer la peine de mort ?. Recherche parmi 299 000+ dissertations

Par   •  2 Février 2021  •  Fiche  •  1 090 Mots (5 Pages)  •  808 Vues

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SEAQUENCE 4 : L’ABOLITION DE LA PEINE DE MORT ; UN COMNAT LITTERAIRE ET POLITIQUE DU XIXe siècle au XXIe siècle

PROBLEMATIQUE : EN QUOI LA LITTERATURE D’IDEE A -T-ELLE CONTRIBUE A DENONCER LA PEINE DE MORT ?

SEANCE1 : EXPOSE 

VICTOR HUGO 

Victor Hugo né en 1802 et mort en 1885 son père est général d’Empire et sa mère était une royaliste, les deux sont donc opposés. Cela va forger ces idées, le mariage de ces parents ne fonctionne pas du tout. Il commence à écrire à 20 ans. En 1833 il prend une maitresse Juliette Drouet. Léopoldine sa fille meurt noyé avec son mari dans la Seine, ce drame le marquera il ne s’en remettra jamais. Il se lance dans une carrière politique   En 1845-1848 il est père de France, 1848-1851 il est élu député. Il part en exile en 1851 car son œuvre critique napoléon 3. En 1871 il est de nouveau élu député mais quitte son poste. Jusqu’à sa mort il serra sénateur, il a eu une influence autant politique que littéraire. Il meurt en 1885, il aura une cérémonie nationale plus de 2 millions de personne Victor Hugo réussi dans 3 genre littéraire : poétique et roman, il est chef de file des romantiques, il publie son premier roman en 1822. En 1827, il publie cranwell qui est injouable, 1829 il publie le roman « le dernier jour d’un condamné « il va critiquer la peine de mort, on est dans la tête du personnage il essaye de faire comprendre la situation et développer une certaine empathie. En 1830, il joue hernani, il va avoir une querelle littéraire, les spectateurs vont créer une bataille durant la représentation. En 1831, il publie notre dame de paris et parle de la pendaison.

En 1838, il publie, Ruyblas, 1841 il est élu à l’académie française. En 1853, il reproche à Napoléon 3, dans les châtiments.

1856, il publie le recueil les contemplations, le 4e livre le dédie à sa fille, on parle aussi de réflexion sociale. En 1862, il publie les misérables, en 1834 il publie Claude Gueux, il montre comment un homme a était pousser au crime à cause de la misère, en 1848 il fait un discourt devant l’assemblé contre la peine de mort, en 1851 il défend son fils qui à publier un article contre la peine de mort.  En 1859, il envoie une lettre au président des Etats unis demander la grâce d’un condamné, la peine de mort Victor Hugo l’associe à la misère. La peine de mort est pour lui la Barberie, la vie est intouchable, il souligne l’injustice du châtiment, la société n’a pas à se venger, le fait que la peine de mort peut avoir un effet de fascination, la peine de mort ne s’en prend pas à la criminalité.

ALBERT CAMUS 

Né en 1913 il meurt en 1960, il perd son père et il est élevé par sa mère et sa grand-mère, son professeur monsieur germain le repère et il intègre le lycée, il fait des études de phylo + du théâtre

En 1935 il fonde le théâtre du travail qui deviendra le théâtre de l’équipe. En 1938, il rentre dans un journal qui s’appelle l’Alger républicain, il fait une carrière journalistique, il essaye de s’engager pour la seconde guerre mondiale mais il est refusé. En 1942, il rentre en résistance en écrivant des articles dans un journal clandestin, il est contre le fachisme, il voyage en Amérique et en 1952 il rompt avec son ami Jean Paul Sartre. 1956, il s’engage dans la guerre d’Algérie et tente de réconcilie les algériens et les européen. En 1957, il obtient le prix Nobel de la littérature, 1960, il meurt dans un accident de voiture. Il a souvent écrit des romans, des essais, il parle de la philosophie de l’absurde en 1937, il publie son premier essaye et deux ans plus tard il publie son deuxième essai appelé NOCE. En 1942, il publie un essai nommé le mythe de Sisyphe. Il démarre un cycle avec la peste. La chute est l’une de ces dernières œuvres elles marquent la fin de sa carrière elle donne bonne conscience, il est contre la peine de mort en 1957 IL PUBLIE « réflexion de la guillotine « il va donner ces arguments contre la peine de mort parmi sur les arguments qu’il donne il dit que c’est de la vengeance , il dit que c’est un acte barbare , et que cela créer des séquelles.

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