Révélation et sublimation de la matière

Nous avons vu à travers ce cour les différentes manières de révéler et sublimer la matière, utiliser à son maximum les

capacité technique et esthétique d’un matériau.

Ce cours m’à permis de connaître plus en profondeur certain matériau et aussi de voir à travers eux, les différentes

manière de le mettre en ouvre.

L’État de la matière :

Selon l’état que nous donnons à une matière (par exemple la pierre que nous polissons ou taillons, n’à pas le même état

et ne révèle pas les même choses) Ces différents états révèle ainsi les qualités du matériau.

(Par exemple Adolf Loos ou Hans on utilisé chacun le marbre pour signifier l’eau à travers ces veinures, ainsi que le font

les architectes au Japon en utilisant une pierre proche du marbre pour recréer cette effet).

La matière est donc extrêmement rattaché à la symbolique du temps, symbolisé par la spiral depuis la nuit des temps,

dans plusieurs cultures. Nous prendrons en exemple le jardin de Gibellina, un jardin entre les murs. Ce jardin fait passer

l’histoire à travers la matière. En effet, en y installant des arche de pierre qui ont résistées chacune à des tremblements

de terre à travers les années).

La matière peu donc évoluer selon que nous l’utilisions de telle ou telle manière. Se tenir, se relever, se transformer.

Le poids de la matière :

Nous verrons le poids de la matière à travers l’école de musique de Santiago de Compostelle. L’école est composée d’éléments

de granit brut, paraissant directement sortis de la carrière.

Pour conclure nous pouvons donc voir que la matière peut ce travailler d’énormément de façons différentes, et de liberté

(brut chez Mies van der Rohe, polie aussi, et enfin en donnant un aspect liquide à un matériau lourd par exemple),

mais aussi dans la relation que ce matériau entretien avec le temps et la lumière (mur sous forme de cadran solaire par

exemple).

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