Qu'est ce que le bien et le mal ?

Philosophie

Qu’est-ce que le bien et le mal ?

1/2/3 sens

      Devoirs vis-à-vis de soi-même

L’honneur n’est plus d’être soi-même d’être respectable mais de savoir ce sacrifier pour les autres

Le martyr est celui qui na pas de qualité si ce n’est que d’être mort pour son idéal religieux et pour autrui

Bien= altruisme/ Mal=égoïste

Règle d’or= ne fais pas a autrui ce que tu ne voudrais pas que l’on te fasse

Comment est-on sûr que cette règle est reconnue et accepter par tous ?

Comment peut on prouver l’impériosité de cette règle ?

Comment fonder la morale ?

1. Fondement religieux
2. Morale Utilitariste (fable des abeilles) : est bien ce qui maximalise l’utilité de la société et nous même, fondement égoïste

Utilité= bien-être matériel

Ce qui compte pour juger du caractère bon ou mauvais ce sont uniquement les conséquences en termes d’utilité pour la société, il semblerait que cela légitime la légitime défense et même la peine de mort. Tu ne tueras point, peut être remis en cause. L’utilité du plus grand nombre prime

Bien que le mensonge soit condamnable, il arrive souvent que mentir soit plus moral

1. Fondement sentimentaliste

Hypothèse où nous aurions un sens moral inné, nécessaire et universel, grâce auquel nous saurions immédiatement ou est mal et le bien (ex : thèse de rousseau, la profession de foi du vicaire savoyard) __ c’est ce qu’appelle rousseau « la conscience morale » « le for intérieur » principe inné de justice et de vertu, juge infaillible du bien et du mal =conscience

1. Société >relativisme 

C’est la société qui induit les fondements de la morale/ plusieurs société= plusieurs types de morale. Chaque culture a ces propres morale et il est donc impossible de fonder objectivement la morale

1.    Rationnelle

Il faudrait pouvoir fonder la morale ni sur dieu ni sur l’utilité (sur les conséquences juger probable dune action, ni sur un hypothétique sentiment moral intérieur)

C’est le fondement rationnel, notre raison d’être humain peut nous prouver que le mensonge et tuer c’est mal. C’est ce qu’a voulu montrer KANT « Métaphysique des mœurs » il y a un moyen infaillible de savoir (de prouver) si une action est objectivement bonne ou pas, il suffit que chaque Homme réfléchisse par sa raison au sujet de la légalité de la maxime de son action. Légalité ne veut pas dire conformité a une loi juridique, mais cela veut dire l’universalisation d’une règle. Une maxime morale c’est un dicton. On peut prouver d’après KANT qu’une action est bonne ou mauvaise en elle-même si la maxime est universalisable ou pas, une maxime n’est pas universalisable si elle entre en contradiction soit avec elle-même soit avec la possibilité de l’humanité. Premier exemple le mensonge on ne peut universalisée la règle du mensonge parce que si le mensonge était une loi universelle plus personne ne croirait ce que les autres lui disent , le mensonge ne serait plus possible, n’aurait plus d’intérêt

5) fondement rationnel

c’est agir de manière désintéressé, l’intérêt universel de l’humanité passe avant mon intérêt personnel. La morale justifier par Kant est bien un morale des principe et nan une morale des conséquences. Cette opposition est illustrer entre Kant et Benjamin Constant, pour Kant il est toujours immorale de mentir même a des meurtrier ou des assassins qui veulent tuer votre amis. Tandis que B.Constant pense qu’il n’y a pas de droit a la vérité, il ne s’agit en effet que d’un droit conditionnel, pas de droit absolu. On ne doit la vérité qu’aux gens qui le mérite. Qui décide qui mérite d’avoir la vérité? Kant répond en disant qu’on est jamais sur que nos amis ne sont pas partis par la fenêtre et ne risque donc pas de rencontrer les assassins ou meurtrier sur la route. On est toujours sur de faire ce qui est juste lorsqu’on ne mens pas, alors qu’on est jamais sur de faire le bien lorsqu’on ment et en outre en mentant on risque d’aggraver le mal

pour conclure pour Kant: faire le bien

                                        =faire son devoir moral

                                         =agir comme si l’humanité agissait en nous

                                         =agir rationnellement

                                         =agir comme un être humain autonome, libéré de ces penchants animaux et égoïstes

cela correspond au dilemme de Jean Valjean dans les Misérables, chapitre «tempête sous un crane» J.V est un ancien bagnard, évadé et qui est toujours poursuivi par la police, pour ce racheter il a décidé de faire le bien, il a dix ans après changé de nom et il est devenu maire bienfaisant dune ville. Il apprend un jour qu’un pauvre paysan c’est fait attraper a ça place comme étant J.V et qu’il sera donc jugé et condamné. Sil ce dénonce il ne pourra plus aide les pauvres avec sa fabrique.

Bilan:

un être qui serait irrationnel, l’animal, le fou, l’enfant… ne peuvent pas agir moralement (en pleine conscience)

CHAPITRE 4: le devoir est il un obstacle au bonheur?

Introduction:

le devoir → avoir des devoirs c’est être responsable et c’est respecter des obligation (ne pas violer certaines règles) attention il y a deux catégories qui relèvent de la nécessité; l’obligation (obligation juridique ou morale, pour obéir a une obligation il est toujours requis une adhésion même minimal de ma volonté), la contrainte (physique qui présuppose une violence imminente) on peut dire que le non respect d’une obligation peut entraîner par la suite par une contrainte

L’obligation qui est de l’ordre moral parce qu’elle nécessite pour être respecter la délibération même a minima et consentis .Alors que la contrainte est toujours de l’ordre physique. Il faut différencié les types de devoirs que l’on peut avoir, en temps que citoyen nous avons des devoirs:

→ juridique (payer ses impôts) politique

→ social (la politesse) il n’y a pas de sanction juridique mais il a une sanction social. Les devoirs sociaux ne sont pas explicitent

→ moraux, faire le bien plutôt que le mal, actes désintéressés

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