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Neolitique en Côte d'Ivoire

Fiche : Neolitique en Côte d'Ivoire. Recherche parmi 299 000+ dissertations

Par   •  8 Juillet 2017  •  Fiche  •  604 Mots (3 Pages)  •  3 750 Vues

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Source : Document adapté GONNIN(G) et ALLOU(R), Côte  d’Ivoire: Les Premiers Habitants,   Abidjan, CERAP, 2OO6, p.122.

                                       

Document 3

Le Néolithique connait deux innovations capitales autour du neuvième millénaire : l’élevage et l’agriculture (…). Les innovations entraînent de nouvelles techniques et de nouvelles conditions d’existence.

L’outillage en pierre est plus finement taillé, les haches et les lames de silex, polies pour obtenir de meilleurs tranchants. Faucilles, pilons, mortiers pour broyer les grains.

Les hommes cessent de vivre en petites bandes nomadisant sur de vastes territoires pour former des familles, des tribus qui s’organisent en chefferies, en royaumes ou en villages. Les arts, l’art rupestre tout particulièrement, et la religion se développèrent.

Notre pays a participé à tous ces changements qui ont touché presque tout le globe terrestre. De nombreux vestiges du Néolithique parsèment les régions du Sud, du centre et du Nord de la Côte d’Ivoire. Des haches polies que la croyance populaire assimile à tort à des « pierres de foudre » ont été retrouvées à Loviguié, à Toupa, à Divo. De véritables ateliers de taille de ces haches couvrent la région de Toumodi (Akoué-Kouadiokro, Afotobo), de Dimbokro et de Bouaké.

Ces haches en roches vertes et assez fragiles devaient servir à des usages rituels. Des boules de pierre, des poteries minuscules ont été signalées dans les régions de Niakaramandougou, Ferkessédougou et Korhogo. On retrouve un peu partout des polissoirs dès que la roche affleure. Il s’agit souvent de meules fixes qui ont servi jusqu’à des époques récentes.

Le Néolithique est donc assez bien représenté en Côte d’Ivoire. On a même constaté une continuité de l’occupation de certains sites, tels que Korhogo et Kong, du Néolithique à nos jours.

 Source : KIPRE  Pierre, Histoire de la Côte d’Ivoire, Abidjan, Ami, 1987.

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Document 3

Le Néolithique connait deux innovations capitales autour du neuvième millénaire : l’élevage et l’agriculture (…).Les innovations entraînent de nouvelles techniques et de nouvelles conditions d’existence.

L’outillage en pierre est plus finement taillé, les haches et les lames de silex, polies pour obtenir de meilleurs tranchants. Faucilles, pilons, mortiers pour broyer les grains.

Les hommes cessent de vivre en petites bandes nomadisant sur de vastes territoires pour former des familles, des tribus qui s’organisent en chefferies, en royaumes ou en villages. Les arts, l’art rupestre tout particulièrement, et la religion se développèrent.

Notre pays a participé à tous ces changements qui ont touché presque tout le globe terrestre. De nombreux vestiges du Néolithique parsèment les régions du Sud, du centre et du Nord de la Côte d’Ivoire. Des haches polies que la croyance populaire assimile à tort à des « pierres de foudre » ont été retrouvées à Loviguié, à Toupa, à Divo. De véritables ateliers de taille de ces haches couvrent la région de Toumodi (Akoué-Kouadiokro, Afotobo), de Dimbokro et de Bouaké.

Ces haches en roches vertes et assez fragiles devaient servir à des usages rituels. Des boules de pierre, des poteries minuscules ont été signalées dans les régions de Niakaramandougou, Ferkessédougou et Korhogo. On retrouve un peu partout des polissoirs dès que la roche affleure. Il s’agit souvent de meules fixes qui ont servi jusqu’à des époques récentes.

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