Lecture Linéaire Le Diable au corps de Radiguet

Le diable au corps (1923)

RADIQUET (1903-1923)

-> Renand RADIQUET, né en 1903 et mort à 20 ans en 1923.

met 20 ans pr ê connut

quitte l'école à 14 ans pour se lancer dans l'écriture poèmes, journaliste à 15 ans, écrivain à 16 ans se lance ds écriture roman sous influence de COCTEAU, ami du surréalisme PICASSO, MODIGLIANI et aussi trés grand ami de COCTEAU

rejoint très vite groupe des génies précoce avec CHENIERS et RIMBAUD

ses romans font penser à ce de Madame de LAFAYETTE, il s'intéresse à la société et l’analyse psychologique

meurt le 12 décembre 1923 de la fièvre typhoÏde, c’est Coco CHANEL qui paye ses hopitalisat° et d’enterrement, il n’y a personne, c’est assez étonnant

Intro :

Le txt étudié est un extrait du roman Le diable au corps en 1923 de Renand RADIQUET

L'écriture roman débute en 1919 et finit en 1921. Publié en 1923 = énorme scandale chez les anciens combattants, ils sont indignés. Il dit que la G c’est les grandes vac.

Fait intimement connaissance avec Marthes (= Alice dans la vraie vie) sa voisine, ils ont 1 an de relation alors que son mari est à la guerre. Elle meurt en lui laissant 1 fils -> celui de l’auteur. C’est Jacques le mari qui va s’en occuper n’ayant jamais su l’infidelité de sa femme.

C’est un roman initiatique puisque nous avons un jeune garçon qui est initié au je de l’amour -> roman d’amour et aussi d’analyse, car ds roman narrateur tente sans cesse d’expliquer ses sentiments

roman rétrospective à cause de sa liaison avc Marthes ms aussi à la guerre, la famille. Met tt ça en évidence en montrant fin tragique car relat° vouée à l’échec.

Titre inspiré de l’express° avoir le diable au corps, ça rends une conotat° adultère

L’extrait situé ds chap 7 et roman compte 34 chaps

Mariage Marthe et Jacques est prévu. Elle invite le narrateur chez elle et ils s’embrassent puis elle lui avoue son amour

En quoi cette scène reflète-elle la complexité des sentiments ?

MOUVEMENT 1 : l.1 à l.7 : mise en place de la scène

MOUVEMENT 2 : l.8 à l.18 : le ressenti du narrateur

MOUVEMENT 3 : l.19 à l.24 : la confession/l'aveu de Marthe

MOUVEMENT 1 : l.1-7 : mise en place de la scène

1er phrase :

début passage + adv de temps “Maintenant” (l.1), sc du txt situé à un moment spécifique

attitude jeune F + “assise”, “tenait ma tête sur ses genoux”, “caressant mes cheveux” (l.1) et "répétant très doucement” (l.2) -> une voix très douce, cé théâtrale, revoie à une image particulière => une image maternelle

renforcement attitudes + pronom perso en posit° de sujet “elle”(l.1)

pronom perso associé + dét poss “ma”, “ses” et “mes”, sugg perso enveloppé par la jeune F

dialogue + l.2, romps délicatesse des gestes

prise de parole + injoct° “il faut” et “ il ne faut plus” (l.2)

renforcé + adv hyperbolique “ jamais” (l.3)

+ utilisat° 2eme pers sing, alors que narrateur avoue l.3 son incapacité à tutoyer la jeune F -> il est impressionné par elle

2eme phrase :

lignes suivante marque un moment important + prop sub circons de temps “lorsque je ne pouvais plus me taire” (l.3), met un accent sur V “se taire”, incapacité/impossibilité

besoin de briser le silence + “je cherchais longuement mes mots” (l.3-4), passe à travers disc narraterrisé

les propos tenu par narrateur ne sont pas livré au lecteur, exprime difficulté de la sc

souffrance que cela engendre chez le narrateur + V de sentiment “sentais” (l.5)

+ hyperbole “ encore plus impossible”(l.5)

3eme phrase :

souffrance + “Mes larmes me brûlaient”, souffrance physique symbolique, ce qui guide narrateur c’est la violence de sa passion et la difficulté de communiquer

2eme MOUVEMENT : l.7-18 :

1er phrase :

+ “Je m’accusait”(l.6), sentiment culpabilité par le narrateur, il est côm un enfant qui a fait une bêtise

+ antithèse “mes lèvres” et “les siennes” (l.7)

+ chiasme “mes lèvres contre les siennes, oubliant que c’était elle qui

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