LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

La princesse de Clèves, Madame de la Fayette.

Commentaire de texte : La princesse de Clèves, Madame de la Fayette.. Recherche parmi 299 000+ dissertations

Par   •  1 Octobre 2017  •  Commentaire de texte  •  930 Mots (4 Pages)  •  1 002 Vues

Page 1 sur 4

Lecture Analytique N°2 : La princesse de Clèves, Madame de la Fayette.

Première impression : Langage soutenue, pureté de la langue (classicisme), 17ème siècle, le grand siècle.

Scène d'aveux : Princesse de Clève avoue son amour pour un autre homme sans donner d'indice.

- Beaucoup d'amour.

- Registre pathétique : on éprouve de la pitié (femme à genoux, princesse de Clèves dans une situation délicate.) Elle ne peut vivre avec l'homme qu'elle aime, il a perdu sa femme, elle offre son amour à un autre. Elle reste loyale à son mari.

But de l'auteur : montrer que même à cette situation (riche,bourgeoise), elle ne peut pas faire ce qu'elle veut.

-Analyse psychologique du personnage.

Essentiellement une scène de dialogue, même quantité de parole pour les deux. Ils ont des exigences morales très élevés. Punition générale : enfermement dans un couvent.

Un moment dans le roman qui met autant de temps à le lire que le temps chronologique.

Préciosité : Mouvement de la première moitié du XVIIème siècle commence à cause d'un manque de raffinement de la cour d'Henri IV.

-Place de la femme importante, leur façon de voir les problèmes.

Personnage : Madame de Sévigné, madame de Seudéry, Cathérine de Vibonne (noblesse), monsieur De la Rochefoucault (écrit des maximes) ; monsieur voiture, monsieur ménage ; Vaugélat.

Grande période de la grammaire.

Roman : Clélie d'Honoré d'Urfé.

Apporte une réflexion sur la place de a femme et le début de la grammaire : langage raffiné ⇒ Ridicule.

. Beaucoup de métaphore : yeux = miroir de l'âme.

. Recherche vestimentaire/esthétique sophistiquée.

. Recherche, sophistication du langage.

Madame de la Fayette :

18 mars 1634 Paris – 1695, vit dans la deuxième moitié du 17ème siècle, cousine par alliance de madame de Sévigné, elle à reçu une excellente éducation et écrit la princesse de Montpensier, la princesse de Clèves ⇒ chef d’œuvre classique, elle à un rôle diplomatique à la cour. Production modeste. Premier chef d’œuvre romanesque = écrit par une femme.

Analyse psychologique :

Pour la princesse de Clèves ⇒ à fait beaucoup de recherche, documentation.

Moquerie : les précieuses ridicules ⇒ appartiennent à la préciosité mais ses romans sont classique.

Suite Lecture Analytique :

Temps sophistiqué ⇒ niveaux de langage soutenue.

Aveux : situation artificielle. Personnage très jeune : 19 ans.

Affligé : abattu par quelque chose.

- Si il n'était pas un roman, il serait une tragédie, utilisation des procédés théâtrales. Fait penser à Phèdre. 2 parties : L'aveu et les effets (pitié, tragédie).

 Analyse Ligne par ligne :

-Elle se marie et perd sa mère.

-Se retire de la cour, dans la campagne.

-L'amant assiste à cette scène, se perd.

* Elle hésite « longtemps », pas fière d'elle « tête baissée », tension entre les deux « presse », « sans pouvoir lui dire ». ⇒ ce qui va se dire va avoir une grande importance,se comporte de manière non-brutale. Opposition « silence »/ « parole ».

Elle qui prend la parole, sujet, c'est elle qui décide. Aspect théâtrale, tirade.

* Discours direct :

« Se jetant à genoux » ⇒ preuve de soumission.

Annonce la gravité de ses actes, elle ne fait pas l'aveu,ne dis pas la vérité.

...

Télécharger au format  txt (5.9 Kb)   pdf (246.5 Kb)   docx (10.7 Kb)  
Voir 3 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com