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Les Crises

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Par   •  18 Décembre 2012  •  3 339 Mots (14 Pages)  •  805 Vues

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A. Un peu de vocabulaire.

 PIB : Produit Intérieur Brut, c’est un outil qui essai de mesurer la richesse crée sur un territoire. On prendre chaque entreprise en essayant de trouver la valeur ajouté de cette entreprise c'est-à-dire le chiffre d’affaire moins les coûts engagés pour les ventes (salaire, consommation intermédiaire…). En revanche, c’est un outil imparfait.

 Croissance : Augmentation du PIB. Il y a croissance lorsque l’on a plus de richesse que l’année précédente. Cette croissance est mesurée par le taux de croissance soit : PIB 2012 – PIB 2011 / PIB 2011.

 Fluctuation : Cette croissance ne se fait pas à un taux constant et sans a coup (elle peut être forte comme faible).

 Cycles (des affaires) : On s’interroge sur la régularité des fluctuations.

Expliquer les cycles :

- Juglar (1862) : il cherchera des données et observera le retour régulier de ce phénomène de crise mais en tant que cycle court de 8 à 10 ans.

- Jevons : il observe aussi des cycles courts appelé « sunspots », « les tâches solaires » en raison de l’activité économique qui correspondait à 80% d’agriculture. Par la suite d’autre parle de prophétie auto réalisante (exemple : si dans l’amphithéâtre nous pensons que les tâches solaires agis sur l’activité économique, on pense tous que cela à un lien et le lien se fera donc).

- Kondratieff. Schumpeter : cycles longs (de 40 à 50 ans) avec des vagues d’innovation.

- Les cycles politico économique, si nous pensons que les élus dépenses avant de faire de la rigueur il pourra donc avoir un cycle politico économique.

B. Une crise généralisée.

- The General Glut Controversy.

- Sismonde de Sismondi ET Malthus vs. Say, Ricardo.

Jean Baptist Say écrit en 1801, 1802 au temps de Napoléon, il dit que les produits s’échangent contre des produits (loi de Say) son successeur dira « l’offre crée sa propre demande ». Une crise généralisée n’est pas possible.

A l’inverse Malthus dira qu’une crise peut être généralisée, il appellera cela une crise de surproduction.

C. Débat autour de la grande crise.

La violence de la crise de 1929. Le PIB a perdu 30%, il faudra attendre 10 ans pour que la production devienne plus stable. Le chômage atteint 40%. Elle est donc profonde et elle s’éternise.

Cause : Politique monétaire, on pense que l’une des cause et que la banque centrale à assécher l’économie. Les billets à l’époque étaient convertibles en métal précieux. On voulait alors retourner à la parité d’avant guerre et donc la politique monétaire a été mal faite.

Le New Deal a enfoncé les économistes dans la crise c’est pour cela qu’il faut attendre l’après 2nd Guerre Mondiale pour que la situation devienne plus stable.

D. Crise monnaie et banque.

- Lent développement des banques centrales. La banque centrale étant relativement récente.

- Création monétaire.

- La banque d’Angleterre, la banque de France et le financement des Etats.

- La FED (1913).

- 15 aout 1971 : révolution.

Nixon décide que la monnaie américaine ne sera pas convertible, on a donc une monnaie fixe. La monnaie papier n’est plus associée aux métaux précieux.

Ce qui se passe sans monnaie ? Les échanges ont toujours existés mais un échange sans monnaie équivaut à du troc. L’inconvénient c’est que cela nécessite la double coïncidence des besoins.

La monnaie s’est développée de façon spontanée. Le bien peut jouer le rôle d’une monnaie lorsque le bien est demandé par tous. Les échanges peuvent alors être multipliés par mille.

La monnaie : la monnaie a comme première valeur la stabilité dans le temps, elle est perçue comme une confiance par tout le monde. La confiance peut s’obtenir par la confiance que l’on accorde aux marchands ou le chef local peut garantir la certitude de cette intermédiaire.

- Réglementation bancaire : Bâle III.

- Vrais droits et faux droits.

La monnaie n’est pas manipuler où il y a un pouvoir d’achat établi (vrais droits). En revanche si la monnaie est trafiquée, sans pouvoir d’achat établi (faux droits).

Les socialistes disaient que trafiquer la monnaie, diminuer la quantité de métal précieux dans la pièce et cela était un pêcher mortel. Mais cela est très tentant pour tous les Gouvernements.

- Une vision enfantine.

Pour beaucoup quand il n’y a plus d’argent la solution est d’imprimer des billets.

- Qui contrôle la monnaie ?

Aujourd’hui certains pays ont décidés d’abandonné leur monnaie car c’était le chaos. On donc décidait de se doter d’une monnaie unique (50,9% de OUI au Référendum sur cette question de monnaie unique).

La monnaie est gérée par la banque centrale européenne qui siège à Francfort, elle est gérer par l’ensemble des pays de la zone européenne. Elle a un pouvoir sur la création monétaire avec notamment le pouvoir d’acheter des obligations c'est-à-dire acheté la dette d’un Etat. La banque centrale européenne fixe aussi les taux d’intérêts.

Taux bas : facilité de trouver des liquidités. La banque centrale contrôle alors la monnaie en achetant les dettes et en fixant le taux d’intérêt.

Les banques commerciales créent aussi de la monnaie par la création de crédit.

Les banquiers jouent alors un rôle essentiel dans l’économie. Il faut voir le banquier comme évoluant sur le marché du temps. Il récolte l’argent des épargnants et permet aux personnes d’acheter plus vite une consommation. L’emprunteur achète du temps au près de ceux qui sont d’avantage patient.

Ceci s’élargie dans la dimension temporelle des échanges avec l’intermédiation.

E. La finance.

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