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Histoire des institution contemporaines de Frédéric Buches

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Par   •  10 Mars 2022  •  Cours  •  2 778 Mots (12 Pages)  •  271 Vues

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Livres : Histoire des institution contemporaines de Frédéric Buches

Fiches de droit constit et sur la maquette de HDR

HISTOIRE DES IDEES POLITIQUES :

Bonapartisme : courant fondamental de la vie politique au 19eme siècle.

C’est aussi un courant politique du 20eme. Perdure car à l’assemblée n des députes bonapartistes et des élus bonapartistes.

Bonapartisme : influence d’autres courants politique comme le boulangisme et le gaullisme.

C’est une doctrine politique qui par sa volonté de de rassemblement national à chercher à maintenir les acquis de 1789 tout en donnant un cap à la nation

Le gouvernement du pays ne doit pas se faire par le système des partis politique car c’est tomber sous leur indépendance. C’est aussi l’opposé du cadre républicain qui vis par le système des partis politique.  

Le bonapartisme est qualifié comme impopulisme.

Le populisme c’est user de démagogie (flatter les opinions pour mieux manipuler le peuple, faire croire au peuple qu’il a raison)

Comment comprendre l’effacement du peuple en 2007 ?

Le législateur et le gouvernement dit que la campagne électoral populiste a pourris le débat et à biaiser le vote réfléchit et éclairé du citoyen.

Sarkozy : Ce n’est pas la mécanique du Referendum qui est mauvais mais l’opportunité de son utilisation ? le résultat du nombre de vote ne semble poser aucune difficulté quand il va dans le sens des élites, ou avoir recours au peuple lors d’une crise. L’appel au peuple prouve que la légitimité d’une consultation populaire n’est pas une mauvaise chose.

En démocratie on se méfie de la volonté du peuple. C’est bizarre. En réalité, cette définition du populisme obscure le débat plus qu’elle ne l’éclaircie

Définir le populisme comme la démagogie c’est rendre obscure le débat actuel.

On peut constater la méfiance des élites sur la démocratie, l’élite est censé représenter le peuple

Populisme : veut dire « pour le peuple », populisme est un espoir politique

Bonapartisme : apparait en 1814, à la fin du premier empire. Être bonapartiste c’est une insulte et en 1848 pour que les partisans de Bonaparte changent sa connotation. Le mot renvoie aux idées formulées par les membres ou partisans de la famille Bonaparte, il se distingue du napoléonisme puisque lui se limite au culte napoléonien. `

Quelles sont les sources du Bonapartisme ?

Source historique : le césarisme de jules césar (monarchie militaire soutenue par le peuple contre l’aristocratie)

Source contemporaine : l’ancien régime et la révolution française ( il se pose en héritier de la monarchie absolue et de la dictature) le B se pose comme la fin de la révolution française.

Le système créer de la crise de son temps et de son tempérament. Le consultât et le premier empire est plus une expérience politique qu’un système bien penser. Le régime de B passe d’une république à un empire

EN 1814 : classe le B à gauche en raison de son alliance avec le libéralisme.

Césarisme démocratique de napoléon 3 : héritage impérial

Sous la chute du second empire Le B se sépare de l’orléanisme et du  

L’Autorité c’est quoi ? : ni de la violence ni de l’obéissance ; l’autorité c’est une reconnaissance qu’une personne donne à une autre, a une puissance morale sur les autres. Lorsqu’un Gouv doit utiliser la force c’est qu’il n’a plus la confiance du peuple, donc plus d’autorité.

Par le système du B, le bonapartisme va institutionnaliser cette autorité, va demander au peuple de renouveler la confiance du peuple.

Le Bonapartisme rejette le régime parlementaire, il est l’exact opposé du régime B. Il ne veut aucun intermédiaire entre le chef de l’état et le peuple.

Le Bonapartisme c’est L’ordre, l’égalité, la liberté, l’autorité, la volonté du peuple, le suffrage universel, la préoccupation sociale.

Le bonapartisme ressemble au gaullisme.

  1. L’expérience Napoléonienne
  1. Les idées de Bonaparte

N.B gouverne selon les circonstances présente, il se remet en question tout le temps et cette souplesse rend souple la doctrine impériale. Cette doctrine l’a construit et va l’adapter en fonction de circonstances.  Depuis 30 ans, les historiens présente N.B comme un conservateur alors qu’il a dépénaliser l’homosexualité, on dit que napoléon est une conquérante mais n’a jamais déclaré la guerre, juste défendues. On dit qu’il a voulu être roi mais à sauver la république.

A la base de la doctrine impériale, il y a des idées simples.

Dans la doctrine il y a une sorte de pessimisme mais n’est pas aussi pessimiste que machiavel. Mais pas beaucoup car partage les opinions de rousseau 

Napoléon c’est que les Fr peuvent faire preuves de bravoures et d’opinion il manque juste qu’il soit bien gouverné.  Pour Bonaparte, la Pol consiste à diriger la cité, la haute politique n’est que le bon sens appliqué aux grandes choses ; la théorie politique ne sert qu’à justifier ou expliquer a posteriori un fait nouveau qui risque d’être mal compris par le peuple.

Dans cette perspective n’a pas de scrupule ni de regret, pour lui c’est la persévérance, Lhomme d’État doit être capable d’exploiter le hasard sans le dominer.

Entre la force et le droit le choix intime de l’empereur va en faveur de la force. Le droit sert à justifier l’emploie de la force.

Les idées de napoléon ont beaucoup évolué.

 A 16 ans, il commence par les livres de J.J.Rousseau. Il lit aussi l’encyclopédie de Diderot.

 1786-88 : son admiration pour rousseau et s’intéresse aux sciences physiques

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