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Doudous DARIA et entreprise MILKY.

Étude de cas : Doudous DARIA et entreprise MILKY.. Recherche parmi 299 000+ dissertations

Par   •  3 Décembre 2016  •  Étude de cas  •  1 321 Mots (6 Pages)  •  1 226 Vues

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          DOUDOUS DARIA

  1. Toutes les entreprises qu’elles quelles soient ont une finalités, c'est-à-dire une raison d’être, une mission principale. En guidant l’action des dirigeants et en fournissant un cadre d’action aux collaborateurs, la finalité varie toutefois d’une entreprise à l’autre ou encore d’un auteur à l’autre. Par exemple, selon P.F. DRUCKER, « la fixation de la mission de l’entreprise constitue une tâche majeure du management » car sans cette determination l’entreprise ne peut être efficace . Dans le cas de l’entreprise Daria, les finalités sont multiples. Il y a tout d’abord une finalité économique : en effet, afin de créer et développer une nouvelle clientèle qui fera un geste en n’achetant plus de produits fabriqués en chine, l’entreprise fait un choix de production diffèrent de la concurrence et réalise des produits de haute qualité. De plus, l’entreprise souhaite élargir son espace de vente « en créant ses propres points de ventes dans de grands magasins » ce qui lui permettra, par la suite, de réaliser du profit dans le but de pérnniser son entreprise.  Dans un deuxième temps, il y a une finalité sociale qui par la même occasion, apporte une image positive a l’entreprise : en effet, le profit réalisé par l’entreprise sert à distribuer des « revenus décents pour les petits producteurs locaux »  et ainsi « assurer de meilleures conditions de travail aux salariés ». L’entreprise en profite pour faire un geste envers les sénégalais en améliorant leur hygiène et leur sécurité en effet, « leurs conditions de vies se sont nettements améliorés depuis le début du projet ».  Pour terminer, on retrouve une finalité sociétale à travers la preservation de l’environnement et la sécurité des consommateurs grâce à des produits  en coton équitables et certifiés biologiques issue du commerce équitable ».

 

  1. « la resposabilité sociétale des entreprises est la contribution aux enjeux du developpement durable ». Pour être socialement responsable, l’entreprise doit « prendre en compte les impacts sociaux et environnementaux de leur activité » afin de mettre en place des actions contribuant a l’amélioration de la société. En ce sens, l’entreprise Daria est socialement resonsable. En effet, dans un premier temps, elle a comme objectif de « permettre aux producteurs et aux travailleurs défavorisées du sud de vivre dignement de leur travail » en se basant sur des règles commerciales adaptées. C’est, de plus, une entreprise qui cherche a sensibiliser ses consommateurs. Enfin, l’entreprise associe les finalités économiques, social et sociétale en agissant en fonction du bien-être de ses salariés, de la preservation de l’environnement (le doudou est fabriqué avec des matières premières biologiques controlées) ainsi que de la qualité et de la sécurité de son produit pour le consommateur.

  1. En déclinant les principes du développement durable au sein des activités, la RSE peut etre vécue comme une obligation, une contrainte ou, à l’inverse, une opportunité.  En effet, la mise en place de la RSE dans l’entreprise Daria a entrainée certaines contraintes comme une augmentation des coûts afin de contribuer à l’amélioration des effets de sa production, ce qui engendre un profit moins élevé et de ce fait moins de chances de développer son activité. En effet, en devant respecter le commerce équitable « afin de contribuer au développement durable en proposant de meilleures conditions commerciales aux producteurs et en sécurisant leurs revenus » l’entreprise Daria fait face à des coûts de productions plus élevés que ceux de ses concurrents,  et devra, pour rentrer dans ses frais, augmenter ses prix de ventes.  Sachant qu’un prix de vente plus élevé attire moins de consommateur l’entreprise risquera de ne pas réaliser un profit nécéssaire pour gagner la confiance des banquiers ainsi que pour rémunérer ses salariés.  Cependant, la mise en place de cette RSE offre tout de même des opportunités à l’entreprise qui la développe. En effet, afin de favoriser le developpement durable les informations concernant le produit (tel que la provenance ou encore les matières utilisées) sont mis en avant et deviennent l’atout majeure de la vente. De plus, de plus en plus de clients veulent acheter tout en réalisant une bonne action : c’est « l’achat responsable ».  Enfin la RSE donne a l’entreprise une image positive et offre aux salariés un certains bien-être et une sécurité.

MILKY

  1.  Un entrepreneur est vu, de façon général, comme cette personne qui identifie dans son environnement une opportunité, dans l’objectif de créer de la valeur. Il doit, pour arriver à ses objectifs, détenir certaines qualités telle que –Savoir se fixer des objectifs précis ; être déterminé ; être organiser et savoir plannifier ; être indépendant/libre ; avoir confiance en soi ; être sociable et ouvert d’esprit  ainsi qu’être créatif/innovant . Dans le cas de l’entreptrise Milky, les responsables, Elodie et Anne-sophie, qui en sont à la tête ont-elles aussi des caractéristiques semblables à ceux d’un bon entrepreneur. En effet, par exemple les deux jeunes femmes avaient pour objectif de devenir indépendante, libre d’agir comme elles le souhaitaient, sans contraintes ni patrons, elles avaient toutes les deux un objectif précis, étaient déterminées même lors de la mise en place du projet, elles se sont organisées et ont plannifiées l’ouverture de leur entreprise à l’avance. De plus, ont peut constater qu’elles sont toutes deux ouvertes d’esprit puisque c’est un voyage aux Etats-Unis qui leur a donné l’envie d’implanter ce nouveau concept créatif en France.

  1. L’entrepreneuriat repose essentiellement sur quelques valeurs précises. Il y a tout d’abord La Créativité, c'est-à-dire la facilité a voir et proposer des choses différentes, à penser sans contraintes. C’est en effet le cas pour les deux créatrices de Milky qui ont eu l’idée de ce concept encore inconnue en France grâce a leur précédent voyage a l’étranger.  Ensuite, il y a L’autonomie : c'est-à-dire créer son propre emploi, être libre et indépendant. C’est une des valeurs que l’on retrouve également dans l’entreprise Milky, en effet  Anne-Sophie et Elodie ont voulu sortir de leur confort habituel et se liberer en tentant de devenir leur propre chef. Par la suite, on retrouve parmi les valeurs le sens des résponsabilités, la solidarité ou encore l’ambition qui font eux aussi parti des valeurs que défendent les créatrices de Milky .
  1. Les créatrices de l’entreprise Milky ont, lors d’un voyage, eu l’idée d’instaurer un nouveau concept en France : en effet, « elles avaient observé qu’il n’y avait pas à Paris de bars à Yaourt. »En effet, créer une entreprise pure « ex-nihilo » c'est-à-dire a partir de rien est une véritable opportunité. En ramenant ce nouveau concept les deux entrepreuneurs se trouvent donc en position de monopole dans ce domaine et deviennent leader sur le marché. C’était une opportunité a saisir puisque si ce concept connaît des retours positifs elles pourront alors avoir projet de devenir une véritable enseigne et donc pouvoir s’installer partout en France grâce au franchissage c'est-à-dire a la reprise et au développement d’une entreprise déjà existante.
  1. La création de Milky s’est fait en plusieurs étapes. Tout d’abord il y a eu L’IDEE : le « frozen Milky » en effet il s’agissait d’un projet INNOVANT puisqu’  « il n’y avait pas a Paris de bars a Yaourt. ». Pour cela il a dont fallu réaliser L’ETUDE DE MARCHE en effet « les deux amies ont analysé le marché du yaourt glacé à l’étranger, et celui des glaciers en France » et par la suite se sont décidé à VALIDER L’IDEE en choisissant le « positionnement haut de gamme ». Par la suite, il y eu le BUISNESS PLAN c'est-à-dire les démarches administratives afin de « trouver le financement ». Même si cela n’a pas été simple, « les deux amies réussirent à emprunter à une banque spécialisée dans l’aide à la création d’entreprise ». Enfin pour permettre le démarrage de l’activité, elles ont finalement trouvés « au hasard d’une promenade un fond de commerce disponible rue de Rennes ».

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