Travail de groupe

Après 6 mois de travail, je peux enfin rendre compte de mon analyse personnelle de cette expérience, qui a eu ses hauts et ses bas.

Au départ, le groupe auquel j’appartiens était composé de deux personnes : Céphorat et moi. Nous avions constitué notre groupe depuis l’année dernière et déjà effectué des recherches en ce qui concerne le sujet, nous avions comme on dit «notre petite idée ». Cependant, les choses ne se sont pas passées comme nous l’espérions, tous les sujets que nous choisissions avaient déjà été traités auparavant ce qui fut un réel problème. Par la suite, il y a eu l’intégration de Darlie dans notre groupe et avec elle nous avons continué à chercher un sujet qui serait non seulement disponible mais aussi intéressant pour nous. Lors de nos recherches, avant l’intégration de Darlie, Céphorat et moi étions parties sur une base de cosmétiques cependant nous voulions les étudier depuis la ville de Kinshasa qui est beaucoup plus réputée dans ce domaine-là. Nous insistions par ailleurs sur le fait que réussir à mener à bien un projet depuis une autre ville serait tout d’abord nouveau mais aussi très attrayant. Un jour enfin, après avoir passé un mois à chercher je me suis rappelée qu’il y avait quelque chose de nouveau dans la ville de Pointe-Noire : des magasins de mode de marques étrangères. J’ai donc proposé cette idée à mes collègues qui ont tout de suite été emballées car cela restait à peu près dans le même cadre que celui que nous voulions au départ mais par dessus tout, nous pouvions mener un projet depuis une autre ville. Après la validation des professeurs, le choix de la problématique a plutôt été chose facile, l’arrivée de magasins de mode de marques étrangères étant une nouveauté il semblait logique d’aborder la question sous l’angle de ce que ceux ci apportent au Congo.

Par ailleurs, nous avons eu énormément de mal à nous mettre en route ; non pas que l’on ne faisait rien, non, mais nous allions un peu dans tous les sens nous ne savions pas vraiment comment nous y prendre mais le plus grand problème était que nous pensions que tant que nous n’étions pas allées à Pointe-Noire, nous ne pouvions pas réellement faire grand chose. Or aujourd’hui après 6 mois je réalise que nous aurions pu avancer en réalisant des questionnaires, en établissant déjà un plan mais malheureusement à l’époque nous ne voyions pas les choses de la sorte, nous étions figées sur cette pensée.

En outre, une fois le premier voyage à Pointe-Noire effectué les choses ont pu s’accélérer un peu bien que cela ne fût quand même pas assez. Cependant, cela été très difficile d’être dans un groupe de trois et de se retrouver à ne travailler qu’à deux car au départ Céphorat ne s’impliquait pas assez, Darlie et moi nous retrouvions donc à faire la plupart du travail ce qui était très désagréable et gâchait totalement l’ambiance du groupe. Pour nous le déclic s’est fait à la rentré de Janvier suite à un entretien avec Madame Ebondza, à partir de ce moment nous avons redoublé d’efforts et essayer de rattrapé notre retard. Un mois avant les vacances nous avions déjà tout fait, la seule chose qui nous manquait étaient les informations mais suite à une maladresse de ma part nous les avons obtenu assez tard, cela est dû à une mauvaise formulation

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