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Redaction Fantastique

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Par   •  1 Février 2015  •  Cours  •  392 Mots (2 Pages)  •  938 Vues

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Ce soir là je décidais de visiter le petit bois qui était juste derrière la maison de mes grands-parents. Cela faisait une semaine que j’étais arrivé dans cette petite ville qui comptait moins de 1000 habitants et je m’ennuyais à mourir depuis plusieurs jours déjà. J’avais remarqué ce bois le matin et j’avais voulu l’explorer mais il faisait tellement chaud que je décidais de reporter mon expédition le soir. Donc, le soir même je sortis de la maison avec une lampe torche et m’engouffrais dans le petit bois. Le soleil n’était pas encore couché mais il commençait déjà à faire plutôt sombre pour un mois de juillet. Tandis que je m’enfonçais dans les bois une petite brise fraiche me fit frissonner et je regrettais tout à coup de ne pas avoir pris de veste. Les arbres étaient gigantesques et les branches formaient de grandes ombres sur le sol pas très rassurantes. Je commençais à regretter d’être sortie si tard et puis mes paupières devenaient de plus en plus lourdes, il fallait avouer que je n’avais pas beaucoup dormie la nuit dernière et j’étais littéralement épuisée. Je décidais donc de rebrousser chemin quand tout à coup ma lampe torche me glissa de la main et se fracassa sur une pierre. Je commençais à paniquer car je n’y voyais plus rien, il faisait tellement sombre ! Et puis j’avais de plus en plus froid ! J’essayais de faire demi-tour et de remonter le chemin à tâtons quand tout à coup j’entendis un hurlement terrible qui me fit sursauter. L’angoisse me paralysa sur place, et comme si cela ne suffisait pas ne suffisait pas je vis de monstrueux yeux jaunes me fixer il y en avait des dizaines j’étais convaincue que c’étaient des loups garous !! J’étais incapable de bouger un doigt, j’étais terrifié je ne savais pas quoi faire puis soudain je vis les branches des arbres qui s’agitaient violemment j’étais tétanisée mais il fallait absolument que je sorte d’ici je me retournais donc et me mit à courir dans l’obscurité. Je n’y voyais absolument rien et j’entendis de nouveau des hurlements. J’étais à bout de souffle, la gorge me brûlait et mon cœur battait à toute vitesse quand tout à coup je trébuchais sur une pierre, tombais sur la tête et m’évanouie.

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