Étude de l'entreprise Newman

Les PME en general, souffrent d’un manque de fonds propres donc on a une capacité d’endettement réduite, ce qui est plutôt avantageux en soi, cependant il y a un manque d’investissement logique.

Newman a connu un alourdissement de la masse salariale ce qui engendrait des frais de représentations “export” importants.

La société doit pouvoir se concentrer sur une methode tryptique : Métier/Commerce/Stratégie. Ici, la stratégie est ébranlée.

On retient differents points qui pénalisent l’entreprise:

1) Manque de management stratégique

2) Approche plus « produit » que « Marché »

3) Manque de Plan de développement International

4) Dispersion sur plusieurs Pays/Marchés

5) Pas d’investissement sur Pays/Marchés stratégiques

Newman maîtrise bien le métier et le commerce. Malheureusement, la société emploie une stratégie qui fait défaut, pas de vision stratégique et possède une gestion à court terme qui ressort sans doute d’un problème d’organisation et de délégation de pouvoirs. L’élaboration de la stratégie n’est pas toujours soumise aux cadres pour une discussion en aval. De plus, il n’y a pas d’organisation adaptée aux stratégies de développement aux stratégies de développement international.

C’est plus le commerce international, donc l’export, qui prime sur le management international, or, toute enterprise doit pouvoir manager avec connaissances.

Comme beaucoup de PMI, Newman se laisse porter par la vague de l’export grâce à l’excellente image de la mode française à l’international.

Newman ne s’est pas aperçue que les conditions concurrentielles se sont durcies, elle semble s’être reposée sur sa réussite de depart.

La société est beaucoup trop centrée sur ses produits (2 collections/an), elle n’a pas l’air de prendre en compte les évolutions dans le temps, les nouvelles tendances et les exigences du consommateur mondial.

Très centré sur elle-même, elle est focalisée

sur les investissements commerciaux et marketing à rentabilité immédiate (CA, V, Promo des V).

Cependant, on voit que la stratégie de relance passe par un plan de communication très ambitieux. Elle s’impose dans d’autres segments en utilisant d’autres leviers : portefeuille de marques (enfants et hommes), et devrait songer à la marque-ombrelle (ex: DANONE => DANETTE, DANAO …), produits dérivés, etc….

Newman devrait penser à basculer dans une approche M : état de veille et d’observation du monde.

Puis, pour devenir à moyen terme une multinationale, elle devrait passer par une profonde mutation culturelle.

Ainsi que de se lancer sérieusement dans les 3 segments (homme, femme, enfant), afin de dégager un CA suffisant pour amortir investissement important (filiale).

Newman doit développer sa gestion en matière de management

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