Présentation Pecha Kucha BTS
Cours : Présentation Pecha Kucha BTS. Recherche parmi 299 000+ dissertationsPar purplevelvet_ • 4 Novembre 2020 • Cours • 1 151 Mots (5 Pages) • 505 Vues
1. Présentation de l’épreuve - Présentation de l’épreuve
L’épreuve de culture générale et expression
■ L’épreuve de culture générale et expression est commune à tous les BTS.Elle porte chaque année sur un thème parmi deux au programme.
■ L’épreuve dure 4 heures en tout et est notée sur 60 points.
■ Elle comprend deux parties :
– une synthèse de documents notée sur 40 points ;
– une écriture personnelle notée sur 20 points.
La gestion du temps lors de l’épreuve
Sur les 4 heures de la durée de l’épreuve, il est important de bien gérer son temps et de le répartir entre le traitement des documents du corpus, l’épreuve de la synthèse et l’épreuve d’écriture personnelle. Voici un tableau indicatif qui peut être adapté.
Gestion du temps durant l’épreuve | Temps en minutes |
Traitement du corpus | 40 |
Découverte et balayage du corpus pour en déterminer l’objet | 10 |
Lecture détaillée des documents | 20 |
Formulation d’une problématique | 10 |
Élaboration de la synthèse | 130 |
Analyse détaillée des documents et élaboration du tableau de confrontation | 45 |
Élaboration du plan | 15 |
Rédaction de l’introduction et de la conclusion | 15 |
Rédaction du développement | 50 |
Relecture | 5 |
Écriture personnelle | 70 |
2 thèmes au programme :
A toute vitesse
De la musique avant toute chose
Pécha/Kucha (5 /10mns : présentation de l’œuvre ou sous-thème/ idées à exploiter en rapport avec le thème)
La synthèse de documents
Cette première partie est purement méthodologique. Aucun savoir n’est requis, seul le savoir-faire est exigé.
■ L’objectif de l’exercice est de présenter un compte-rendu structuré et objectif des idées contenues dans un dossier comprenant plusieurs documents. ■ Il s’agit donc de répertorier les enjeux communs aux documents, en mettant en valeur les points de convergence et de divergence, et de les rapporter au sein d’un développement construit autour de deux ou trois grandes parties. ■ L’ensemble doit être présenté de manière objective et impersonnelle.
Les critères d’évaluation
La compréhension synthétique des documents
■ Il s’agit de dégager les idées principales d’un texte et de les reformuler en restant fidèle à l’information. Attention aux problématiques trop partielles ou, à l’inverse, trop vastes.
La visée démonstrative du raisonnement par la confrontation des documents
■ Il s’agit d’établir entre les documents des liens d’analogie, de complémentarité ou de divergence, pour permettre une compréhension en profondeur d’un problème. Beaucoup de synthèses ont tendance à se contenter d’une approche strictement accumulative, en juxtaposant des idées sans confrontation des documents, ou en utilisant des liens chronologiques et non logiques (« tel auteur dit que…, ensuite tel autre dit que…, puis il dit que… »).
Les qualités d’expression
■ Il faut soigner l’expression (syntaxe, orthographe) mais aussi le style qui doit être concis pour privilégier la densité sur la quantité. C’est un exercice de synthèse…Il faut donc faire un plan avec une introduction, une conclusion.
Les principaux écueils à éviter
Une implication personnelle
■ La synthèse n’est ni une dissertation sur une problématique, ni une succession de résumés mis bout à bout, ni un commentaire de textes : alors que dans un commentaire, le candidat se doit d’éclairer les documents par des connaissances et une interprétation, dans la synthèse, au contraire, la nécessité de l’objectivité est impérative. ■ Vous ne devez donc pas vous impliquer émotionnellement ou exprimer un point de vue. Il vous faut au contraire objectiver votre devoir, c’est-à-dire le rendre impersonnel par une expression neutre, qui tient compte de la situation de communication imposée : – rédaction à la 3e personne du singulier (pas de « je » dans la synthèse), et au présent de généralité ; – tournures impersonnelles ; – pas de phrases exclamatives ; – pas d’affirmations trop catégoriques : l’usage du conditionnel permet de nuancer une prise de position, de même que les tournures interro-négatives (« comme le suggère X dans le document Y, ne conviendrait-il pas de se demander si… ») ou les tournures concessives (« certes… mais » ; « si… en revanche… »).
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