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Journal de lecture Terre des Hommes de St Exupéry et des Essais de Montaignes

Fiche de lecture : Journal de lecture Terre des Hommes de St Exupéry et des Essais de Montaignes. Recherche parmi 299 000+ dissertations

Par   •  15 Avril 2019  •  Fiche de lecture  •  5 377 Mots (22 Pages)  •  826 Vues

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Legaud                                                                                                                                             1SB[pic 7][pic 8][pic 9][pic 10]

Martin                                      

 Journal du lecteur

Terre des hommes de Antoine de Saint-Exupéry

                                    Chapitre 1 La Ligne

Ce qui m'a touché:
p13 « mais souvenez vous: au-dessous des mers de nuages...c’est l’éternité. » L'usage du terme éternité me fait penser à un espace où le temps serait comme figé et cette idée de dépasser les nuages pour arriver dans cet espace me plaît.
p19  « L'écrivain non seulement n’avait pas atterri a Casablanca, mais que jamais il n’atterrirait plus nulle part. » Cette phrase traduit un constat triste mais d'une manière très simplifiée.

Ce que j'ai aimé:

p15-16 description du territoire et de ses détails importants pour le pilote. On ne prends pas forcément conscience tout ce qui était nécessaire pour piloter un avion en ces temps.

p23 2paragraphe « [...] Et ce spectacle était si écrasant que Mermoz, une fois le Pot-auNoir franchi, s’aperçut qu’il n’avait pas eu peur. » Ce passage fait exemple de la grandeur de la nature et des ses sommets les plus hauts, les plus sombres. Que Mermoz n'en ai pas peur révèle en ce personnage un grand courage.
p27 « Ici nous étions maître, il nous le faisait découvrir. » Saint Exupery prend conscience de la liberté qui lui est octroyé par cet avion perdu dans l'infinité du ciel.

J’ai eu l’impression d’un grand silence, dû, je pense, à la quasi inexistence des dialogues présent et aux nombreuses référence à l’infinité du ciel.

                                     
Chapitre 2 Les Camarades 

Partie I

Ce que j'ai aimé:

p31-32 introduction de Mermoz, de ses exploits. Mermoz nous est introduit comme un personnage courageux, héroique. Il est introduit comme un précurseur des grands trajets dans l'aviation.
p34 description de l’amitié et p35 du but d’un métier par Saint Exupery. Saint Exupery nous livre ses pensées sur l'amitié d'une manière honnète et directe.

Ce qui m'a touché:

p33-34 sa disparition. Le fait d'introduire le personnage, de nous narrer ses exploits puis de nous réveler sa disparition nous laisse le souffle coupé.

Assez émouvant

Partie II

Ce que j'ai aimé:
p38  « en face d’un mauvais orage, tu juge: « voici un mauvais orage. » Tu l’acceptes et tu le mesures." Ici Saint Exupery nous montre le danger que représente le metier d'aviateur et le sang froid qu'il faut avoir pour pouvoir affronter le mauvais temps qui peut facilement devenir mortel.

p40-41-42 récit de son accident

Ce qui m'a touché:

p39 « nous y risquerions notre vie » et « Les Andes en hiver ne rendent point les hommes » et « C’est l’hiver. Votre camarade, si même il a survécu à la chute, n’a pas survécu à la nuit. La nuit là-haut quand elle passe sur l’homme, elle le change en glace » opposition avec « Guillaumet…vivant! »
p42 description du physique de Guillaumet
p44 « Dès le second jour, vois-tu, mon plus gros travail fut de m’empêcher de penser. » Cette phrase me plait beaucoup. Le courage et le sang froid qu'il faut pour se rendre compte de cette situtation et la gérer ne doit pas être simple à avoir.
p40et46 « Ce que j’ai fait, je le jure, jamais aucune bête ne l’aurait fait » Quand j'ai lu ce passage, ce n'est pas de la fierté que j'ai ressenti mais juste des paroles sincères et honnêtes. C'est un constat que Guillauet semble porter sur son histoire.
p48 Saint Exupery compare la mort d’un suicidé et d’un vieux jardinier

Cette deuxième partie était très belle mêlant le récit « héroïque »d’un accident et en même temps une analyse du rapport de la mort a l’homme

                                                 
  Chapitre 3 L’avion

Ce que j'ai aimé:

p49 « Quiconque lutte dans l’unique espoir de biens matériels, en effet, ne récolte rien qui vaille de vivre. »  propos que l’on retrouve p35 « Nous nous enfermons solitaires,avec notre monnaie de cendres qui ne procure rien qui vaille de vivre. » Le fait de trouver des petits passages portant sur la réalité de la vie, un peu comme hors contexte, est plaisant.
p49 « un outil comme la charrue »comparaison au domaine agricole que l’on retrouve p34 « Mermoz décidément, s’était retrancher derrière son ouvrage, pareil au moissonneur qui est ayant bien lié sa gerbe se couche dans son champ. »
p52  « La perfection de l’invention confie ainsi à l’absence d’invention »

Ce que je n'ai pas compris:

p50-51« C’est à peine si nous commençons d’habiter cette maison nouvelle, que nous n’avons même pas achevé de bâtir. » je saisis le sens mais n’arrive pas à trouver la métaphore de la maison, la maison correspondrait à l’humanité? À notre société ?

J’ai bien aimer ce chapitre l’auteur ne nous transmet plus uniquement des émotions mais aussi sa pensée cela rappelle quelque peu les Essais de Montaigne. Le thème de l'aviation est aussi particulièrement bien traité: à travers l'ensemble du chapitre, l'avion apparaît comme un formidable outil, qui a permis à l'homme de faire de remarquables découvertes, d'en apprendre beaucoup sur lui-même et sur le monde.

                                         
Chapitre 4 L’avion et la planète

Partie I

Ce que j'ai aimé:
p55 « Nous voilà donc jugeant l’homme à l’échelle cosmique, l’observant à travers nos hublots comme à travers des instruments d’études. Nous voilà relisant notre histoire. »

Cette première partie, brève, nous montre l’importance de l’avion sur le regard que nous portons sur notre monde. Saint Exupery nous explique que les routes nous trompent, nous montrant le plus beau de notre monde. Tandis que l’avion ne cache rien, allant en ligne droite, il dévoile les secrets stériles des coins reculés de notre monde.L'avion est aussi percu comme un outil de civilisation: en prenant de la hauteur, les Maures insoumis ont tendances à relativiser leur puissance et leur foi inébranlable. Saint Exupery, profondément humaniste, voit enfin dans l'avion un trait d'union entre les êtres humains: "il faut bien tenter de se rejoindre. Il faut bien essayer de communiquer avec quelques-uns de ces feux qui brûlent de loin en loin dans la campagne".                                                                
Partie II

Je n’ai pas spécialement aimer cette partie il n’y a pas grand chose a dire, Saint Exupery nous décrit juste un village et ses alentours. Je trouve qu'il y a moins de réflexion que les chapitres précédents hormis quelque comparaison.

Partie III

Ce que j'ai aimé:

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