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COMM1000 Examen maison 2

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Par   •  2 Mai 2024  •  Cours  •  2 961 Mots (12 Pages)  •  37 Vues

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COM 1000

Introduction à la communication

Examen maison 2

30 points - 30 %

Série B

 Complétez les informations dans l’encadré d’identification ci-dessous.

 Inscrivez vos réponses directement dans ce fichier, dans les emplacements prévus à cet effet.

 Sauvegardez votre travail de la façon suivante : COM1000_Examen2_Nom_Prenom

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Prénom :

Nom :

Date :

Numéro d’étudiant :

Trimestre : Automne 2023/Hiver 2024

Questions à réponse courte (15 points)

1. L’analyse de contenu traditionnelle se prête autant à l’exploration qu’à la clarification des notions. Oui ou non ? Expliquez. (2 points)

Votre réponse :

Non, l’analyse de contenu traditionnelle ne se prête pas à la clarification des notions contenues dans un texte. Elle est un instrument qui permet d’explorer et de décrire d’une manière systématique les différentes caractéristiques du contenu d’un texte. « Telle est sa fonction et tel est l’unique rôle qu’elle peut jouer. » En effet, on peut utiliser l’analyse de contenu traditionnelle non seulement pour connaître le contenu d’un texte (exploration), mais on peut aussi l’utiliser afin de vérifier certaines hypothèses que l’on se fait quant au contenu de ce texte. Par contre, l’analyse de contenu traditionnelle ne permet pas de clarifier les concepts mentionnés dans le texte.

Charron, 2022, p. 91-92

2. Le terme « analyse de contenu » est un terme à usage générique seulement, signifiant un ensemble de type d’analyse. Oui ou non ? Expliquez. (2 points)

Votre réponse :

Non, le terme « analyse de contenu » est à la fois un terme à usage générique, mais aussi à usage spécifique. À un terme générique peuvent correspondre plusieurs termes spécifiques. En effet, l’analyse de contenu, tel qu’expliqué à la première question, est un instrument qui permet d’explorer et de décrire d’une manière systématique les caractéristiques du contenu d’un texte (usage générique). Or, « Lorsqu’on l’applique à un texte particulier, l’objectif devient spécifique. »

Charron, 2022, p. 92

3. Le chercheur Charles Sanders Pierce serait : 1) d’accord, 2) plutôt d’accord ou 3) pas de tout d’accord avec l’énoncé suivant : la transmission du sens repose sur l’existence d’une langue. Expliquez. (2 points)

Votre réponse :

Le chercheur Charles Sanders Pierce ne serait pas d’accord avec cet énoncé. En effet, Pierce exprime que « […] comme la pensée se manifeste toujours au moyen de signes, la logique devient la science qui traite des conditions permettant aux signes d’exister, des conditions nécessaires à la transmission du sens pas des signes. » Donc, selon ce philosophe, la transmission du sens repose sur l’existence de signes, donc à une sémiotique générale, c’est-à-dire non seulement la langue, mais aussi les signes gestuels, olfactifs, auditifs (sons) et iconiques.

Charron, 2022, p.113-115

4. Un signe appartient toujours à un système de signes (un système signifiant). Oui ou non ? Expliquez. (2 points)

Votre réponse :

Oui, le signe est un élément (son, image, écriture, etc.) qui représente quelque chose. Ce signe n’a pas de sens et ne signifie rien si on ne peut pas l’interpréter dans son contexte (un système signifiant). « Le signe est la réunion d’une réalité perçue et de l’image mentale associée à cette réalité. » En effet, les termes employés pour désigner cette réalité et l’image qui lui est associés sont : le signifiant et le signifié. Le signifiant est la réalité perçue du signe. Par exemple, le mot arbre est le son ou les lettre qui le compose et le signifié est l’image mentale que l’ont ce fait de ce mot, soit un tronc avec des branches et des feuilles.

Par contre, un signe qui est dans une langue que nous ne connaissons pas ne sera qu’un son qui n’a pas de signification pour nous ou des caractères que nous ne savons interpréter.

Charron, 2022, p. 118

5. Quand un signe n’est pas arbitraire et conventionnel, on dit qu’il est ________. (2 points)

Votre réponse :

Quand un signe n’est pas arbitraire et conventionnel, on dit qu’il est motivé. Lorsqu’il y a une ressemblance entre le geste et le signifiant auquel il est associé, il y a une analogie, c’est-à-dire une association d’idées établie par l’imagination. L’indice, l’icône et le symbole sont des signes qui sont de nature « motivée ».

Charron, 2022, p. 122-123

6. Quand nous nous préoccupons de l’ordre des éléments d’un message, cette préoccupation est-elle plutôt d’ordre paradigmatique ou syntagmatique ? Justifiez votre réponse. (2 points)

Votre réponse :

Lorsque nous nous préoccupons de l’ordre des éléments d’un message, cette préoccupation est d’ordre syntagmatique. Le paradigme est le terme qui désigne une classe de signes qui ont des traits communs, qui pourraient se substituer les uns aux autres. Le syntagme est l’intégration du signe au contexte du message. « Le syntagme est le résultat d’une association de signes formant un message. » On comprend donc le sens du message en faisant des liens entre les différents signes compris dans le message ainsi que l’ordre dans lequel les éléments du message sont combinés.

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