Biographie de René Descartes

DESCARTES

1. Les choix de Descartes ?

Déçu par l'école, Descartes choisit de chercher d'autres sources de connaissance : l'expérience de la vie et la réflexion personnelle. Il s'engage aussi plus tard dans l'armée hollandaise aux côtés du prince Maurice de Nassau.

2. A quoi s'intéresse-t'-il ?

Aux mathématiques à cause de la certitude et de l'évidence de leur raison; elles démontrent ce qu'elles affirment.

3. A quoi arrive-t'-il ?

Il s'adonne à la méditation et à l'écriture, ce qu'il amène à l'aide des mathématiques à inventé sa méthode.

4. Quelle découverte a-t'il fait et dans quoi l'a-t'-il mise ?

Descarte découvre dans le discours de la méthode qu'il peut prouver l'existence de Dieu et le primat de l'âme sur le corps grâce aux 4 règles de la méthode.

5. Comment est-il arrivé au concept du cogito ?

Descartes commence son itinéraire spirituel par le doute. Il doute volontairement et systématiquement de tout. Pourtant, il y'a une chose dont il ne peut pas douter : aucun objet de pensée ne résiste au doute, l'acte lui même de douter est indubitable.

=> “je pense donc je suis” : cogito ergo sum. Ce n'est pas un raisonnement, c'est une intuition.

6. Qu'est que le libre arbite pour lui ? Csq et csq vis-à-vis de Dieu ?

– Le libre abitre, c'est le pouvoir de refuser le vrai et le bien en présence même de l'évidence qui s'offre.

– Csq : C'est moi qui me trompe et qui pêche. Mon libre abitre me fait méritant ou bien coupable.

– CSQ : Dieu propose et l'homme dispose en son libre arbitre. Ainsi Dieu n'est coupable ni de mes erreurs, ni de mes pêchés.

2. En quoi consiste la morale cartésienne ?

– être toujours ferme et résolue en ses actions

– se soumettre aux usages et coûtumes de son pays

– plutôt changer ces désirs que l'ordre du monde, et se vaincre soi-même plutôt que la fortune.

2. Quelles sont les qualités de l'homme en tant qu'esprit et en tant qu'homme ?

L'homme en tant qu'esprit a pour valeur suprême la générosité, la << vraie générosité >> qui consiste en ce qu'il connait qu'il n'y a rien qui véritablement lui appartienne.

Si nous considérons l'homme en tant qu'esprt uni à un corps, nous sommes obligés de tenir compte des passions, càd de l'affectivité. Est passion pour Descartes tout ce que le corps détermine dans l'âme. Il entend régler les passions plutôt que les étouffer.

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