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Pourquoi veut-on ttoujours toujours ce que l'on voit de mieux ?

Dissertation : Pourquoi veut-on ttoujours toujours ce que l'on voit de mieux ?. Recherche parmi 299 000+ dissertations

Par   •  24 Avril 2018  •  Dissertation  •  1 171 Mots (5 Pages)  •  516 Vues

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Le désir est une force physique qui pousse l’individu vers un objet: objet du désir, il est propre à l’homme et fait partie de ce qui définit notre humanité. Il existe plusieurs type de désir, il peut par exemple être un élément qui trouble l’être humain d’un point de vue corporel ou psychologique souvent liée a la possession d’un bien. Le désir peut aussi être une action d’envie, de souhait etc...

En revanche l’inconvénient avec le désir, c’est qu’il n’est pas durable à l’inverse du bonheur qui est un état durable , car en effet dès qu’un désir est satisfait, un nouveau désir naît tout de suite après.

Dans l’extrait de texte du Philosophe, économiste et militant politique allemand

Karl Marx, travail Salarié et capital, l’auteur évoque le désir qu’on éprouve lorsque qu’on voit qu’on peut avoir plus que ce que l’on a déjà. On examinera donc pourquoi veut-on toujours ce que l’on voit de mieux ?

Or cette question met la raison dans l’embarras avec 2 problèmes :

- Vouloir toujours mieux, ne se traduit-il pas par ’envie d’être meilleur, ne pas avoir de mauvaise sensation si on n y parvient pas.

- Vouloir toujours plus n’est-il pas justement un moyen pour avancer dans la vie, la convoitise ne serait-elle donc pas bénéfique

Le texte répond à la question en 3 étapes:

- de la ligne 1 à la ligne 8 l’auteur illustre et nous explique sa thèse par une analogie

- de la ligne 8 à la ligne 12 l’autre redonne un exemple

- de la ligne 12 à la ligne13 l’auteur nous dit ou il voulait en venir

On considère la première étape. Elle va de la ligne 1 à la ligne 8, à travers sa thèse Marx illustre le fait que l’on consomme parce que les autres consomment. Lorsque l'on possède autant que n'importe qui au monde, on est heureux, on ne demande pas plus que ce que l'on juge normal. Le désir se définissant ici comme le fait de vouloir posséder quelque chose en vue d'en tirer du plaisir, il est donc signe de manque et d'insatisfaction. Si l'individu n'éprouve pas ce manque, alors il n'éprouvera pas de désir quelconque. Mais lorsque qu’on voit que quelqu’un a plus que nous et que donc avoir plus que ce que l’on a déjà est possible, un désir nous arrive soudainement, une soudaine envie. L’objet est donc secondaire et ne désire tel ou tel objet parce qu’un autre le possède mais aussi car il ne supporte pas la supériorité de l’autre.

Chaque individu semble avoir un pouvoir sur les autres, or le désir n’est pas naturel selon Marx, donc il tire ses désirs auprès des autres, il serait donc plus d’ordre moral

c’est plus une compétitivité entre les individus qu'un désir d'appartenance propre afin d’être le meilleur parmi tant d’autres. Contrairement à Marx, Spinoza affirme que « Le désir est l'essence même de l'homme en tant qu'elle est conçue comme déterminée à faire quelque chose par une affection quelconque donnée en elle. »

L’exemple qui nous est donné ici est l’arrivé d’un palace à côté des maisons, les propriétaires de la maison ne peuvent s’empêcher de comparer leur maison au palace, le trouvant plus grand, plus beau, trouvant leur maison ridicule et toute petite a côté de ce grand et beau palace. Cette comparaison perçu comme une inégalité, les

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