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Diderot

Thèse : Diderot. Recherche parmi 299 000+ dissertations

Par   •  15 Décembre 2015  •  Thèse  •  555 Mots (3 Pages)  •  3 123 Vues

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Thème : Croyance

Thèse : Les différentes formes de croyance et leurs sentiments

Diderot, philosophe de l’époque des lumières nous présente dans cet extrait de l’Encyclopédies, sa définition de la croyance ou plus précisément du mot «croire» et du rôle que joue, le raisonnement en la matière. Diderot nous donne sa définition du mot croire qui d’après lui est le fait d’ « être persuadé de la vérité d’un fait ou d’une proposition » sous-entendu dire le fait d’être sûr d’avoir raison subjectivement.

Dans son texte, Diderot faire ressortir trois arguments basé dans un premier temps  sur le fait « qu’on ne s’est pas donné la peine d’examen » signifiant qu’on se base sur des préjugés ou des rumeur qui son objectif, prendre pour agents comptent.

Dans un second temps,  «qu’on a mal examiné », le premier et second cas sont en lien qui aboutit à sentiment de culpabilité et de négligence quant à la non ou mauvaise utilisation de la raison.

Suite à cela un troisième cas est présent très distinct des deux autre qui que l’«on a bien examiné» subjectivement qui est le fait d’appel au raisonnement, à la raison conduisant à un assentiment, acte de l’esprit pour lequel on affirme comme vrai quelque chose, ferme et satisfaisant.

Pour finir, Diderot nous fait part du retentit en cas d’erreur pouvant exprimer deux sentiments distinct regroupent dans une première partie les deux premiers cas provocant un sentiment de culpabilité renforcé par une frustration et dans une deuxième partie le non regret car on aura rempli «son devoir de créature raisonnable»

2. a)  Diderot veut signifier par le bilé de cette phrase qu’une personne n’aillant pas chercher à fonder un cas, au moment d’une révélation d’un fait simple et évident, celle-ci se sent coupable d’avoir cru bêtement  sans recherche ni argument, de n’y avoir pas songé plus tôt.

b) …

3.  L’Homme, n’étant pas un robot, peut être donc source de nombreuse erreurs pouvant soit le faire régresser soit le faire avancer dans sa vie. Mais  sommes- nous coupables, lorsque nous commettons des erreurs ? Tout cela dépend de la gravité de l’actes en lui-même.

Si cette erreur va à l’encontre ou enfreint la loi celle-ci peut être compté comme grave et donc nous pouvons être coupables de l’avoir commis mais cela dépend aussi de la personne étant faire tous différemment, notre pensées fait actes sont différents malgré que l’on dépende de certaine loi, contrainte et de comportement pour favorisé le savoir vivre en société. Cela signifie que tout le monde ne réagit pas de la même façons au niveau de certain actes, mais nous pouvons nous rejoindre sur la gravité d’actes comme les erreurs médicales … tout actes atteignant a nuire ou détruire une personnes, un pays …

Tout fois, si celle-ci est une erreur d’étourderie, non recherchée, cette erreur peut être pardonné, excusé et donc ne pas être senti coupable de ces actes et faits.

En opposant les deux types d’erreurs, on ne peut pas réellement dire si l’Erreur peut être source de culpabilité ou non car elle dépend de sa gravité ainsi que ces conséquences qui suive ces actes. Mais elle peut aussi être source de conséquences dans sa vie car permet ou non comme dit précédemment si cela permet de construire un avenir fondé sur de l’expérience constructif

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