Ecriture d'invention

Question 1 : La cour du Roi est la cible commune visée dans les deux textes. Les auteurs critique le ridicule de la cour, son inutilité mais aussi son hypocrisie. Le manque de personnalité de ces personnes est aussi critiqué.

Question 2 : Pour convaincre ses lecteurs Jean de La Fontaine écrit des fables car elles sont agréables à lire. Le fait d'utiliser des animaux à la place de personnages est une idée plutôt originale qui plaît au lecteur. Ses textes sont composés de dialogue ce qui les rendent plus facile à lire. Le texte de la Fontaine est composé de plusieurs procédés stylistiques comme V. 4 « De certains compliments de consolations ». Ici on retrouve un oxymore car un compliment et souvent lié à un événement joyeux et la consolation est en lien avec la tristesse. V. 13 il y a une métaphore « Et tout son antre en résonna » l'antre fait allusion au château, et l'antre est un repère de fauve et comme le château c’est un endroit où se terre. Les deux peuvent servir comme abri aux hommes ou aux animaux. V. 18 il y a aussi l'antithèse « Triste, gais ». Nous pouvons retrouver une autre métaphore V. 23 « C'est bien là que les gens sont de simples ressorts ». Les gens sont comparés à des ressorts car les ressorts sont modulable et ses courtisans sont décrits comme influençables donc modulable. Une question rhétorique est aussi présente dans le texte de Jean de La Fontaine V. 25 « comme eut-il pu faire ? » La Bruyère lui pour convaincre ses lecteurs utilise 3 fois des questions rhétoriques ligne 1 et 2 « et que seuls aussi ils en doivent répondre ? » ligne. 4 « qui même les a vus marcher ? » ligne. 15 « Le diraije ? » La Bruyère utilise aussi des figures de style comme l'énumération ligne 3 « l'empressement, l'inquiétude, la curiosité, l'activité » et ligne. 6,7 « vous démonteriez leur machine » une métaphore.

Question 3 : Le texte de la Fontaine et un texte satirique car il caricature la société grasse aux animaux. La Bruyère Lui utilise des adjectifs ironiques exprimant l'empressement de Cimon et Clitandre.

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Comment aurait-on pu imaginer qu'un chef cuisinier renommer tel que Georges puisse être une personne si désagréable à vivre. En effet certains de ses collègues de travail le considère comme une personne capricieuse, distraite et qui manque cruellement de vocabulaire. Il ne l'on jamais vu employer des mots autre que familier d'autant plus si c'est pour donner un peu de nourriture pauvre c'est qui lui ferait perdre de l'argent. Son avarice le rend inhumain, affirme les serveurs. Ces derniers nous confirent même en s'esclaffant qu'à plusieurs reprises leur chef avait fait preuve de distraction en par exemple dans une assiette de blanquette d'agneau avais placé un choux à la crème. Ce qui leur firent reprendre leurs esprits c'est un souvenir un peu moins drôle. Une fois alors que leur parton s'occupait

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