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Beaumarchais, Le mariage de figaro, acte II, scènes 17,18 et 19

Commentaire de texte : Beaumarchais, Le mariage de figaro, acte II, scènes 17,18 et 19. Recherche parmi 299 000+ dissertations

Par   •  5 Novembre 2022  •  Commentaire de texte  •  869 Mots (4 Pages)  •  1 017 Vues

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Explication numéro 1,

Beaumarchés, Le mariage de figaro, 1784, acte deux,
Scène 17, 18 et 19



Intro :


Ce texte est un extrait du mariage de Figaro de Beaumarchais qui paraît en 1784. C’est une comédie en cinq actes qui raconte comment un valet va opposer à son maître pour sauver son mariage et mettre en cause le privilège du “ droit de cuissage “ .
Le compte mari infidèle est jaloux interdit à son page d’approcher sa femme. Il est pourtant revenu en secret, prendre congé de la comtesse dont il est amoureux. surprise par l’arrivée du comte, la comtesse dissimule le jeune homme dans le cabinet de toilette.

Suzanne, la servante a tout suivi et va en profiter pour faire sortir le page et prendre sa place.

Comment le stratagème de Suzanne est-il à la fois source de comique et de gravité dans ces scènes ?


Les mouvements du texte ligne 1 à 6. La stupéfaction de la ligne 7 a 15 les personnages se remettre de leurs émotions. Ligne 16, à la fin, la formulation des reproches.

Premier mouvement:

Suzanne apparaît comme la maîtresse de la situation elle salut le coup du théâtre dont elle est l’auteur comme l’indique la didascalie ligne 1,    “ sort en riant”
Elle est aussi insolente à l’égard du compte en répétant ces paroles,         “ Je le tuerai. Je le tuerai” ligne 1.
Le spectateur est même informé que les maitres et apprécie la stupéfaction des deux, l’apporter du compte d’abord “ à quelle école!”

 Ligne 2 , et la didascalie sur la comtesse “ La comtesse stupéfie” , toujours la ligne deux. Le compte est blessé dans son amour propre: il doit reconnaître avec tort, mais il ne s’ouvre vaincu et aggrave même son cas “ mais peut-être, elle n’y es pas seul” ligne quatre.

 Il va donc subir une seconde d’humiliation en constatant que le cellier est vide. C’est contre absence fermé à la comtesse et à Suzanne de parler, scène 18. La position des deux femmes indiqué par les escaliers et parlante.

 Suzanne est bien le personnage fort plein de ressources et de validité. elle rassure la comtesse sur le sors du péage, grâce a l’impératif ligne 5, “ remettez-vous, madame” la comtesse, avoue alors sa faiblesse avec une injection et une hyperbole.

 Ligne 6, “ Ah Suzanne je suis morte”. Les deux maîtres sont totalement désorienté et en position de faiblesse, alors que la servante tire les ficelles du jeux grâce au stratagème.

Deuxième mouvement :


Les personnages se remettre de leurs émotions, la didascalie, une fois encore permettant de redéfinir les personnes, donc le compte ligne 7

 “ en posant son mouchoir sur la louche” ligne 10 a l’inverse.

Suzanne se comporte “gréement” Ligne 9. Le compte crois que les deux femmes lui ont joué un tour, on peut le remarquer avec l’emploi du champ lexical du jeu.” jouer la comédie.” ligne 8 , “plaisante “ligne 11 et “hardinage” ligne 13,
On voit bien que le compte n’arrive cependant pas à croire l’innocent de sa femme puisqu’il “s’approche” ligne 11 et lui pose une question
quoi, Madame vous plaisantez ?”
La comtesse reprend peu à peu ses esprits didascalies, ligne 12 et le prononces de phrase interrogative qui vont maintenir le compte dans l’erreur et lui reprocher. C’est folie. Ligne 14. “Vos folies méritent-elles de la pitié?”

Troisième mouvement :

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